Paroles de la chanson Des cailloux dans la chaussure par Syrano
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Paroles de la chanson Des cailloux dans la chaussure par Syrano
Tout de la vie m'inspire de l'air.
Il est dur de se défaire des cailloux dans la chaussure entièrement.
Pour autant ce n'est pas l'Enfer.
Même si les rires se paient cher. Chaque seconde se fait plus légère.
« Tout ce qui ne te tue pas te rend plus fort ».
C'est vraiment une phrase de con qui a vécu sans effort.
Évidemment que les épreuves te fragilisent
Et, qu'à défaut de cadre, tu te fabriques une marie-louise.
Il faudra éclater de rire pour changer la donne,
Exploser chaque instant, inonder d'émotions au minimum,
Il est dur de se défaire des cailloux dans la chaussure entièrement.
Pour autant ce n'est pas l'Enfer.
Même si les rires se paient cher. Chaque seconde se fait plus légère.
« Tout ce qui ne te tue pas te rend plus fort ».
C'est vraiment une phrase de con qui a vécu sans effort.
Évidemment que les épreuves te fragilisent
Et, qu'à défaut de cadre, tu te fabriques une marie-louise.
Il faudra éclater de rire pour changer la donne,
Exploser chaque instant, inonder d'émotions au minimum,
Respirer à s'en claquer les poumons. Cette voie est la bonne :
Ne plus compter la joie par kilos mais le bonheur en mégatonnes.
On ne pourra pas se délester de tout
Mais, à mon avis, c'est notre profondeur qui nous rend volatile.
Rien ne s'évapore, non, rien ne serre à tort.
On saura se contenter du flou comme des fous avant l'asile.
Tu m'étonnes alors, qu'on ait tranché nos racines
Mais nous bassine pas du moment qu'on amène la sève au port.
La légèreté est plus belle quand elle connaît l'asphyxie.
Vas-y, choisis une étoile, je t'offre la galaxie.
Ne plus compter la joie par kilos mais le bonheur en mégatonnes.
On ne pourra pas se délester de tout
Mais, à mon avis, c'est notre profondeur qui nous rend volatile.
Rien ne s'évapore, non, rien ne serre à tort.
On saura se contenter du flou comme des fous avant l'asile.
Tu m'étonnes alors, qu'on ait tranché nos racines
Mais nous bassine pas du moment qu'on amène la sève au port.
La légèreté est plus belle quand elle connaît l'asphyxie.
Vas-y, choisis une étoile, je t'offre la galaxie.
Tout de la vie m'inspire de l'air.
Il est dur de se défaire des cailloux dans la chaussure entièrement.
Pour autant ce n'est pas l'Enfer.
Même si les rires se paient cher. Chaque seconde se fait plus légère.
Un jour, à force de gâcher, tu apprends à tout lâcher,
Et tu t'engages, enragé, à fuir la parcelle ombragée.
Tu sais plus que la moyenne quel est le prix de te cacher
Des rayons qui t'appellent et qui pourraient te soulager.
Alors tu cèdes et tu te baignes dans leur lumière pour assécher
Chaque plaie dont tu saignes et sur laquelle on a craché.
Tu profites plus alors et plus rien ne pourra étancher
Ce désir de sourire et de te sentir allégé.
Léger, léger, léger, léger.
Léger, léger, léger, léger.
Tout de la vie m'inspire de l'air.
Il est dur de se défaire des cailloux dans la chaussure entièrement.
Pour autant ce n'est pas l'Enfer.
Même si les rires se paient cher. Chaque seconde se fait plus légère.
Tu profites plus alors et plus rien ne pourra étancher
Ce désir de sourire et de te sentir allégé.
Léger, léger, léger, léger.
Léger, léger, léger, léger.
Tout de la vie m'inspire de l'air.
Il est dur de se défaire des cailloux dans la chaussure entièrement.
Pour autant ce n'est pas l'Enfer.
Même si les rires se paient cher. Chaque seconde se fait plus légère.
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