Paroles de la chanson J'ai relevé la tête par Syrano
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Paroles de la chanson J'ai relevé la tête par Syrano
J’ai relevé la tête à l’instant
Et le battement qui s’aligne
Entre mon cœur et ce qui me reste de temps
Me murmure ce que je n’avais pas su lire entre mes propres lignes.
Parfois, la cécité est une félicité,
Pour avancer au hasard, presque une nécessité.
Et il fallait sûrement que j’arpente la pente abrupte
Pour prendre conscience de ma ténacité,
Réaliser que je pouvais enfin m’autoriser
À respirer plus loin que cet air motorisé,
Que j’avais toujours senti quelque chose de plus grand
Dans un monde si petit qu’on mate les aurores à travers un écran.
Et le battement qui s’aligne
Entre mon cœur et ce qui me reste de temps
Me murmure ce que je n’avais pas su lire entre mes propres lignes.
Parfois, la cécité est une félicité,
Pour avancer au hasard, presque une nécessité.
Et il fallait sûrement que j’arpente la pente abrupte
Pour prendre conscience de ma ténacité,
Réaliser que je pouvais enfin m’autoriser
À respirer plus loin que cet air motorisé,
Que j’avais toujours senti quelque chose de plus grand
Dans un monde si petit qu’on mate les aurores à travers un écran.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai humé le ciel.
J’ai souri à ce nouveau sentiment
Et j’ai mangé ces baisers de miel.
Rien à voir avec un éveil de mes sens, non.
Je fais juste la paix au lieu de faire la résistance.
J’ai lâché prise et j’ai gonflé mon être.
La porte est close alors j’ouvre la fenêtre.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai compris qu’il n’y a que l’amour.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et c’est comme un rayon de lune en plein jour.
Je n’offrais au monde qu’un pâle éblouissement,
La lumière vulgaire d’un soleil adapté
Alors que ma lueur, une fois sans vêtement,
Était une bien plus large et douce clarté.
Et j’ai humé le ciel.
J’ai souri à ce nouveau sentiment
Et j’ai mangé ces baisers de miel.
Rien à voir avec un éveil de mes sens, non.
Je fais juste la paix au lieu de faire la résistance.
J’ai lâché prise et j’ai gonflé mon être.
La porte est close alors j’ouvre la fenêtre.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai compris qu’il n’y a que l’amour.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et c’est comme un rayon de lune en plein jour.
Je n’offrais au monde qu’un pâle éblouissement,
La lumière vulgaire d’un soleil adapté
Alors que ma lueur, une fois sans vêtement,
Était une bien plus large et douce clarté.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai fait mon choix.
Je vais lui offrir tout ce que j’ai de vivant,
Ce jour, lui abandonner tout de moi.
Et ce n’est pas pour l’en rendre responsable,
Provoquer encore des promesses de sable,
Mais pour dénuder en moi une absolue vérité :
On a le droit de recevoir ce qu’on a mérité.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai compris que toutes les routes
M’amenaient vers elle, inexorablement.
Chaque joie. Chaque moment. Chaque doute.
Alors, il fallait sûrement que j’endure
Assez pour sublimer mon élan,
Contempler les bonheurs simples pour en prendre la mesure,
Apprendre à ne plus parler qu’au présent.
Oui, il fallait que je sois finalement capable
Et j’ai fait mon choix.
Je vais lui offrir tout ce que j’ai de vivant,
Ce jour, lui abandonner tout de moi.
Et ce n’est pas pour l’en rendre responsable,
Provoquer encore des promesses de sable,
Mais pour dénuder en moi une absolue vérité :
On a le droit de recevoir ce qu’on a mérité.
J’ai relevé la tête à l’instant
Et j’ai compris que toutes les routes
M’amenaient vers elle, inexorablement.
Chaque joie. Chaque moment. Chaque doute.
Alors, il fallait sûrement que j’endure
Assez pour sublimer mon élan,
Contempler les bonheurs simples pour en prendre la mesure,
Apprendre à ne plus parler qu’au présent.
Oui, il fallait que je sois finalement capable
De n’être plus que moi, nu, face au miroir,
De vibrer dans le vide, de saisir l’impalpable.
Il fallait sûrement que j’accepte de ne rien savoir.
Il fallait que je rende les armes et trouve mon Alésia,
Que je rature cent fois avant la Mona Lisa.
Je ne suis pas vulnérable tant c’est une évidence.
Je veux le calme et la tempête du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse avec la sienne.
J’ai relevé la tête à l’instant et je lui souris.
De vibrer dans le vide, de saisir l’impalpable.
Il fallait sûrement que j’accepte de ne rien savoir.
Il fallait que je rende les armes et trouve mon Alésia,
Que je rature cent fois avant la Mona Lisa.
Je ne suis pas vulnérable tant c’est une évidence.
Je veux le calme et la tempête du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse.
Du moment que ma vie danse avec la sienne.
J’ai relevé la tête à l’instant et je lui souris.
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