Paroles de la chanson Tu Ne Verras Rien par Syrano
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Paroles de la chanson Tu Ne Verras Rien par Syrano
Ne cherche pas, tu ne verras rien.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
C'est pas qu'on est durs au mal.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
C'est pas qu'on est durs au mal.
C'est que nos vécus sont plus humiliants.
Et que pour nous, un million d'épreuves, ça ne sera jamais qu'un léger contre-temps.
On ne demande pas de médaille.
C'est juste qu'on était de taille.
Normal qu'à la guerre on perde quelques batailles.
Heureusement qu'on t'épargne les détails. Sauve toi !
On n'a pas que les chtars au seufs.
Y'a déjà la dèche, le combat entre modes et rations.
Il n'y a que l'alcool qui n'impose pas de modération.
C'est ironique l'existence quand tu manques d'éducation.
Tu sais que t'as pas de contrat mais tu contrastes en criant fort « Fuck la contraception ! »
Et que pour nous, un million d'épreuves, ça ne sera jamais qu'un léger contre-temps.
On ne demande pas de médaille.
C'est juste qu'on était de taille.
Normal qu'à la guerre on perde quelques batailles.
Heureusement qu'on t'épargne les détails. Sauve toi !
On n'a pas que les chtars au seufs.
Y'a déjà la dèche, le combat entre modes et rations.
Il n'y a que l'alcool qui n'impose pas de modération.
C'est ironique l'existence quand tu manques d'éducation.
Tu sais que t'as pas de contrat mais tu contrastes en criant fort « Fuck la contraception ! »
Fais des gosses ! Fais des gosses !
Prie pour qu'ils soient précoces et crie « À l'aide ! »
Leur Q.I s'est jeté du dixième étage car leur bas âge est bercé par un écran à leds.
De toute façon, pour la moitié d'entre nous, ça finit en cirrhose,
Mais si tu veux la preuve que tout n'est pas si rose.
Tu perds ton temps. Ne cherche pas, tu ne verras rien !
Ne cherche pas, tu ne verras rien.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
Prie pour qu'ils soient précoces et crie « À l'aide ! »
Leur Q.I s'est jeté du dixième étage car leur bas âge est bercé par un écran à leds.
De toute façon, pour la moitié d'entre nous, ça finit en cirrhose,
Mais si tu veux la preuve que tout n'est pas si rose.
Tu perds ton temps. Ne cherche pas, tu ne verras rien !
Ne cherche pas, tu ne verras rien.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Ce n'est pas l'Enfer de pousser en marge.
Même si ta maison est construite sur une ancienne décharge.
Quand dans nos espaces verts, émergent des tessons de verre,
Tu captes que tes racines sont plongées dans la mauvaise terre.
On n'oubliera pas les huissiers, ni les colères qui nous freinent,
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Ce n'est pas l'Enfer de pousser en marge.
Même si ta maison est construite sur une ancienne décharge.
Quand dans nos espaces verts, émergent des tessons de verre,
Tu captes que tes racines sont plongées dans la mauvaise terre.
On n'oubliera pas les huissiers, ni les colères qui nous freinent,
Et on garde le regard viciés de nos amis devenus schizophrènes,
Là, dedans.
Même si on a le cœur en cavale.
La misère n'est pas que de façade, alors on la ravale.
Tu as le choix pour éteindre ta rébellion
Entre le charbon de la rue et des crayons.
On est nés dans la fausse aux lions.
C'est le pognon ou une boîte de Néocodion.
Ne cherche pas la faille, tu ne verras rien.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
Là, dedans.
Même si on a le cœur en cavale.
La misère n'est pas que de façade, alors on la ravale.
Tu as le choix pour éteindre ta rébellion
Entre le charbon de la rue et des crayons.
On est nés dans la fausse aux lions.
C'est le pognon ou une boîte de Néocodion.
Ne cherche pas la faille, tu ne verras rien.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
Déguisés, sous un humour aiguisé ou un sourire malicieux,
On ne montre jamais.
Même épuisés, si quelque chose est brisé, on le montre avec le yeux.
On ne montre jamais.
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