Paroles de la chanson Printemps par Tengo John
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Paroles de la chanson Printemps par Tengo John
Ce qui était vert en été devient rouge en automne
Ma vision est trop médité et bien trop monotone
Ce que je délivre c’est pas du rap c’est juste un vent de ma vie
Laisse-moi te narrer mes histoires avant que je change d’avis
J’aimerais parler de mes rêves et de quelques destins brisés
De ma part de ténèbres qui n’a de cesse de s’inviter
Le temps passe et même les souvenirs les plus dégueulasses
Deviennent plus lumineux, on trouve toujours un juste milieu
Omar était au foyer, la solitude l’a noyé
Ma vision est trop médité et bien trop monotone
Ce que je délivre c’est pas du rap c’est juste un vent de ma vie
Laisse-moi te narrer mes histoires avant que je change d’avis
J’aimerais parler de mes rêves et de quelques destins brisés
De ma part de ténèbres qui n’a de cesse de s’inviter
Le temps passe et même les souvenirs les plus dégueulasses
Deviennent plus lumineux, on trouve toujours un juste milieu
Omar était au foyer, la solitude l’a noyé
Omar aimait la boxe mais les médicaments l’ont broyé
On se serra toujours serré les coudes dans l’adversité
Nos rêves de toutes les couleurs dans un lieu si aseptisé
Je me rappelle de Charlotte, cette drôle de vieille dame
Elle n'avait plus toute sa tête mais elle était pleine d’âme
A travers une fenêtre je voyais défiler les saisons
Avec comme seul idée en tête de rentrer à la maison
Mais ça m'a forgé, même quand de larmes mes yeux regorgeaient
Et j’avais la tentation de les égorger, leurs procédures sont rincées
On se serra toujours serré les coudes dans l’adversité
Nos rêves de toutes les couleurs dans un lieu si aseptisé
Je me rappelle de Charlotte, cette drôle de vieille dame
Elle n'avait plus toute sa tête mais elle était pleine d’âme
A travers une fenêtre je voyais défiler les saisons
Avec comme seul idée en tête de rentrer à la maison
Mais ça m'a forgé, même quand de larmes mes yeux regorgeaient
Et j’avais la tentation de les égorger, leurs procédures sont rincées
Le poids de mes blessures passées, est-ce une amertume glacée qui m’oblige toujours à me surpasser
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Dans mon imaginaire je survole la vallée sur mon dragon
En espérant apercevoir les cerisiers du Japon
Est-ce que mon passé m’emmène quelque part
Est-ce vers la lumière ou bien vers le noir
Face à la mer je regarde le ciel
Comme si c’était la dernière fois
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Printemps été automne hiver, printemps
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Dans mon imaginaire je survole la vallée sur mon dragon
En espérant apercevoir les cerisiers du Japon
Est-ce que mon passé m’emmène quelque part
Est-ce vers la lumière ou bien vers le noir
Face à la mer je regarde le ciel
Comme si c’était la dernière fois
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Pourquoi les plus belles choses sont souvent les plus douloureuses
Les deuils, les souvenirs et les relations d’amour houleuses
J’en aurait fait des rencontres, c’est qu’aujourd’hui que je m’en rends compte
Utile pour le plus grand nombre, certaines m’auront forgés dans l’ombre
Les gênes partent, les coeurs parlent, les pleurs gagnent
J’ai peur car les heures passent les fleurs fanent
Parfois dans la lumière mais trop souvent dans la lune
Ce sera pas grand chose mais j’aurais mon château ambulant
Pourquoi les plus belles choses sont souvent les plus douloureuses
Les deuils, les souvenirs et les relations d’amour houleuses
J’en aurait fait des rencontres, c’est qu’aujourd’hui que je m’en rends compte
Utile pour le plus grand nombre, certaines m’auront forgés dans l’ombre
Les gênes partent, les coeurs parlent, les pleurs gagnent
J’ai peur car les heures passent les fleurs fanent
Parfois dans la lumière mais trop souvent dans la lune
Ce sera pas grand chose mais j’aurais mon château ambulant
Est-ce que mon passé m’emmène quelque part
Est-ce vers la lumière ou bien vers le noir
Face à la mer je regarde le ciel
Comme si c’était la dernière fois
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Printemps été automne hiver, printemps
Maintenant j’essaye d’être ordinaire un temps
Ce qui était vert en été devient rouge en automne
Ma vision est bien trop médité et bien trop monotone
Ce sera pas grand chose, mais j’aurais mon château ambulant
Ce sera pas grand chose, mais j’aurais mon château ambulant
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