Paroles de la chanson Amoureux par The Pirouettes
Auteurs: Victoria Hepsel,Leonard Garnier,Ben Lupus
Compositeurs: Victoria Hepsel,Leonard Garnier
Editeurs: Moka Music,Kidderminster
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Paroles de la chanson Amoureux par The Pirouettes
Le soleil tape sur des rideaux fermés
la scène a lieu sur un canapé
c’est le mois d’avril
et les heures défilent mais pourtant
tout se suspend
on vole au sol on rêve éveillé
on se surprend
on a qu’une envie c’est profiter du moment
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
tu me parles de si près que ton visage s’est effacé
à force de nous rapprocher nos bouches vont bientôt se toucher
la scène a lieu sur un canapé
c’est le mois d’avril
et les heures défilent mais pourtant
tout se suspend
on vole au sol on rêve éveillé
on se surprend
on a qu’une envie c’est profiter du moment
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
tu me parles de si près que ton visage s’est effacé
à force de nous rapprocher nos bouches vont bientôt se toucher
c’est pas le premier
non non
je suis pas le premier et pourtant
tout se suspend
on vole au sol on rêve éveillé
on se surprend
on a qu’une envie c’est profiter du moment
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
il n’y a que ça
on nous répète qu’on perd la tête
mais on n’écoute pas
à quoi bon s’embêter quand on est les rois
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
j’ai remonté l'étage
non non
je suis pas le premier et pourtant
tout se suspend
on vole au sol on rêve éveillé
on se surprend
on a qu’une envie c’est profiter du moment
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
il n’y a que ça
on nous répète qu’on perd la tête
mais on n’écoute pas
à quoi bon s’embêter quand on est les rois
autant qu’on peut autant qu’on veut
quand on est amoureux
j’ai remonté l'étage
j’ai marché sur des plages
de tous ces paysages
je retiens ton visage
le vent dans tes cheveux
à la sortie du métro
la ville et la banlieue
il ne faisait pas chaud
de notre quotidien
je retiens je retiens
et ce qu’on voudrait taire
tu m’as tellement fait pleurer
nos conflits nos affaires
oui je t’ai détesté
rejeté oublié pardonné adoré
de ces petites guerres
juste un souvenir amer
tout se suspend
de tous ces paysages
je retiens ton visage
le vent dans tes cheveux
à la sortie du métro
la ville et la banlieue
il ne faisait pas chaud
de notre quotidien
je retiens je retiens
et ce qu’on voudrait taire
tu m’as tellement fait pleurer
nos conflits nos affaires
oui je t’ai détesté
rejeté oublié pardonné adoré
de ces petites guerres
juste un souvenir amer
tout se suspend
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