Paroles de la chanson La mer à boire par Théo GOUDE
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Paroles de la chanson La mer à boire par Théo GOUDE
Bon
Moi, j’commence à en avoir marre de toutes vos gueules
Fin d’abord, vous m’traitez de puceau, de pd, tout le temps, mais juste parce que j’suis un peu plus efféminé…
Bah ça m’casse les couilles moi, genre j’suis censé faire quoi ? Ça fait tout l’projet qu’jvous parle et puis voilà dernière chanson faut qu’j’rappe en français pour vous l’faire comprendre, putain
Mes pattes poussent tel un rabbin
Une catin s’approche, j’me creuse tel un lapin
Les personnes autour de moi m’décorent tel un sapin
Moi, j’commence à en avoir marre de toutes vos gueules
Fin d’abord, vous m’traitez de puceau, de pd, tout le temps, mais juste parce que j’suis un peu plus efféminé…
Bah ça m’casse les couilles moi, genre j’suis censé faire quoi ? Ça fait tout l’projet qu’jvous parle et puis voilà dernière chanson faut qu’j’rappe en français pour vous l’faire comprendre, putain
Mes pattes poussent tel un rabbin
Une catin s’approche, j’me creuse tel un lapin
Les personnes autour de moi m’décorent tel un sapin
Nan j’suis pas chinois, PUTAIN !
J’ai les cheveux châtains !
Tant d’pression, tous les jours j’suis en studio session
J’perds mes couilles ; procrastination
Pas besoin d’téma l’plan pour deviner ma prochaine station
J’me pose souvent de drôles de questions, j’tape une tresse m’enfuis comme Raiponce
Ma meuf me pose des questions sur mes questions, j’ai toujours pas d’réponses
Ma crédibilité s’estompe alors, j’tape une p’tite heure de dépression
« J’aurais dû faire d’la natation ça aurait faciliter la fornication »
C’qu’y m’faut c’est pas des couple goals, y m’faut une psychologue
Qui m’épuisera comme une bonne pizza, s’ensuivra des épilogues
J’ai les cheveux châtains !
Tant d’pression, tous les jours j’suis en studio session
J’perds mes couilles ; procrastination
Pas besoin d’téma l’plan pour deviner ma prochaine station
J’me pose souvent de drôles de questions, j’tape une tresse m’enfuis comme Raiponce
Ma meuf me pose des questions sur mes questions, j’ai toujours pas d’réponses
Ma crédibilité s’estompe alors, j’tape une p’tite heure de dépression
« J’aurais dû faire d’la natation ça aurait faciliter la fornication »
C’qu’y m’faut c’est pas des couple goals, y m’faut une psychologue
Qui m’épuisera comme une bonne pizza, s’ensuivra des épilogues
Plus que Star Wars, ou des racistes devant l’drapeau le 14
Alors c’est quand l’album ? Me demandent les caveaux
Les crevards s’tiennent à carreaux, pas d’signal jusqu’à c’que j’achète le château
Arrêtez d’jouer avec ma tête bande de pestes…
Nique sa race putain… hé, putain putain putain…
Y’a encore… y’a encore du gâteau ?
Marre d’vos gueules de souris
Marre d’être dans le noir
Marre d’devoir vous faire sourire
J’veux vivre une vie sans soucis
Alors c’est quand l’album ? Me demandent les caveaux
Les crevards s’tiennent à carreaux, pas d’signal jusqu’à c’que j’achète le château
Arrêtez d’jouer avec ma tête bande de pestes…
Nique sa race putain… hé, putain putain putain…
Y’a encore… y’a encore du gâteau ?
Marre d’vos gueules de souris
Marre d’être dans le noir
Marre d’devoir vous faire sourire
J’veux vivre une vie sans soucis
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
Oui j’suis souriant, et j’parle lentement
Oui j’ai l’air d’un stoner, depuis cinq ans
Mon apparence est toujours trompeuse, parfois comme ma semence
Attends, recule, j’veux qu’t’écoutes, pas juste que t’entendes
Même en vacances y’a des jours où je le sens
Mon doppelgang, celui qui danse seul dans sa chambre
Celui qui n’a peur de rien, qu’ma sœur qualifierait d’embarrassant
Mes amis d’fragile, mais que veux-tu ? J’suis d’nature embrassante
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
Oui j’suis souriant, et j’parle lentement
Oui j’ai l’air d’un stoner, depuis cinq ans
Mon apparence est toujours trompeuse, parfois comme ma semence
Attends, recule, j’veux qu’t’écoutes, pas juste que t’entendes
Même en vacances y’a des jours où je le sens
Mon doppelgang, celui qui danse seul dans sa chambre
Celui qui n’a peur de rien, qu’ma sœur qualifierait d’embarrassant
Mes amis d’fragile, mais que veux-tu ? J’suis d’nature embrassante
Embrassante, sans me vanter, au camping j’aurais la tente avec le plus d’ambiance
Et ma tante m’a dit qu’j’faisais une crise de 50 ans
J’crois juste que j’suis un cousin d’Satan
Cousin va-t’en, tu grattes que quand
J’suis triste et j’me méprise
À deux doigts d’me tremper les deux doigts dans une prise
J’suis mieux à Paris, mais trop confortable
J’grossis, j’pécho des carries, et mes connaissances osent penser qu’j’suis banal
Putain
Marre d’vos gueules de souris
Marre d’être dans le noir
Marre d’devoir vous faire sourire
Et ma tante m’a dit qu’j’faisais une crise de 50 ans
J’crois juste que j’suis un cousin d’Satan
Cousin va-t’en, tu grattes que quand
J’suis triste et j’me méprise
À deux doigts d’me tremper les deux doigts dans une prise
J’suis mieux à Paris, mais trop confortable
J’grossis, j’pécho des carries, et mes connaissances osent penser qu’j’suis banal
Putain
Marre d’vos gueules de souris
Marre d’être dans le noir
Marre d’devoir vous faire sourire
J’veux vivre une vie sans soucis
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
Nan nan nan nan nan bah nan… Huh
Grosminet, tu commences à choper un gros bidet
T’as mangé trop d’Titi c’est l’heure de dodo mon bébé… Huh
Arrête de ruminer
D’tenter de t’entêter
D’tenter d’me rattraper
Je flippe pour ta santé
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
C’est pas la mer à boire
Nan nan nan nan nan bah nan… Huh
Grosminet, tu commences à choper un gros bidet
T’as mangé trop d’Titi c’est l’heure de dodo mon bébé… Huh
Arrête de ruminer
D’tenter de t’entêter
D’tenter d’me rattraper
Je flippe pour ta santé
J’vais pas m’adapter alors retourne dans ta rangée
Tu dis que j’ai changé? Je dis qu’j’suis un danger
À ta voracité, j’engendre des fatalités
Grâce à mes facilités, au-delà d’tes banalités
Bon, pour dire la vérité ça commence à m’saouler les émois d’virilité
Aboie, aboie, c’est bien, propage ta stupidité
Nan vraiment, j’suis heureux d’être une génération d’fin d’alphabet
Au moins les temps avancent, commencent à s’modifier
Le réalisme est décédé, votre sort est décidé
Tout c’que j’regrette c’est les CD
Tu dis que j’ai changé? Je dis qu’j’suis un danger
À ta voracité, j’engendre des fatalités
Grâce à mes facilités, au-delà d’tes banalités
Bon, pour dire la vérité ça commence à m’saouler les émois d’virilité
Aboie, aboie, c’est bien, propage ta stupidité
Nan vraiment, j’suis heureux d’être une génération d’fin d’alphabet
Au moins les temps avancent, commencent à s’modifier
Le réalisme est décédé, votre sort est décidé
Tout c’que j’regrette c’est les CD
C’est triste que tout c’que j’regrette c’est les CD…
J’écris pour exciter
J’écris pour m’exhiber
J’écris pour m’exiler
J’écris pour exister
C’est pas la mer à boire d’être…
Vous êtes des bandes de cassos donc voilà…
Cher à vos gueules
J’écris pour exciter
J’écris pour m’exhiber
J’écris pour m’exiler
J’écris pour exister
C’est pas la mer à boire d’être…
Vous êtes des bandes de cassos donc voilà…
Cher à vos gueules
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