Paroles de la chanson Grande Caline (la) par Théodore Botrel
Auteurs: Théodore Botrel
Compositeurs: Théodore Botrel
Editeurs: Editions Fortin
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Paroles de la chanson Grande Caline (la) par Théodore Botrel
Celle qui m’a pris tout entier
Celle pour qui mon cœur altier
Bat dans ma farouche poitrine
Est si preneuse voyez-vous
Que nos gâs la chérissent tous :
C’est la grande Câline !
Lorsque je la quitte, parfois,
Je pleure quand je la revois
Du haut de l'agreste colline ;
Et, dans l'ivresse du retour,
J'envoie un long baiser d'amour
A la grande Câline.
Elle a des yeux troublants et fiers
Quelquefois bleus, quelquefois verts,
Celle pour qui mon cœur altier
Bat dans ma farouche poitrine
Est si preneuse voyez-vous
Que nos gâs la chérissent tous :
C’est la grande Câline !
Lorsque je la quitte, parfois,
Je pleure quand je la revois
Du haut de l'agreste colline ;
Et, dans l'ivresse du retour,
J'envoie un long baiser d'amour
A la grande Câline.
Elle a des yeux troublants et fiers
Quelquefois bleus, quelquefois verts,
Plus souvent couleur opaline :
Combien de gâs insoucieux
Se sont damnés pour les beaux yeux
De la grande Câline !
Quand elle chante à sa façon
L'Homme, saisi d'un grand frisson,
N'entend plus que sa voix divine :
Combien de nos jeunes garçons
Sont morts d'écouter les chansons
De la grande Câline !
Dans sa robe couleur d'azur
Elle vient à vous d'un pas sûr,
Malgré son allure féline ;
On veut fuir... on ne le peut pas...
Et l'on tend, malgré soi, les bras
A la grande Câline
Combien de gâs insoucieux
Se sont damnés pour les beaux yeux
De la grande Câline !
Quand elle chante à sa façon
L'Homme, saisi d'un grand frisson,
N'entend plus que sa voix divine :
Combien de nos jeunes garçons
Sont morts d'écouter les chansons
De la grande Câline !
Dans sa robe couleur d'azur
Elle vient à vous d'un pas sûr,
Malgré son allure féline ;
On veut fuir... on ne le peut pas...
Et l'on tend, malgré soi, les bras
A la grande Câline
Elle vous berce doucement
Comme autrefois votre maman
Dans vos berceaux de mousseline ;
Et, raidis d'extase, l'on meurt...
Heureux de mourir sur le cœur
De la grande Câline !...
Et des amants elle en aura
Tant qu'aux Bretons elle tendra
Sa bouche à la saveur saline,
Car, dans ton lit de goëmons,
O MER ! ! ! c'est Toi que nous aimons,
Toi, la grande Câline !...
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