Paroles de la chanson Merci et à demain par Tim Dup
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Paroles de la chanson Merci et à demain par Tim Dup
Merci et à demain
Je prends la route, un train
M’échapper de tout ça
Trouver un havre de paix
Où l’on ne connaît
Ni la haine et la foi
Merci et à demain
Suffisent un ciel, un sein
Sur lesquels je me brise
On s’en va, on s’étreint, vas-y gamin lâche prise
Merci et à demain
Et les fenêtres ouvertes
L’envie de s’extraire
Chevillé au corps, le coeur en bandoulière
J’ai appris à me taire
Je prends la route, un train
M’échapper de tout ça
Trouver un havre de paix
Où l’on ne connaît
Ni la haine et la foi
Merci et à demain
Suffisent un ciel, un sein
Sur lesquels je me brise
On s’en va, on s’étreint, vas-y gamin lâche prise
Merci et à demain
Et les fenêtres ouvertes
L’envie de s’extraire
Chevillé au corps, le coeur en bandoulière
J’ai appris à me taire
Mais lassé, là, tu vois, des choses petites
Le désir, tu sais, toi, de s’asseoir, de courir
À perte de vue, forêts noires ou des plages d’Afrique
Merci et à demain
Humble et le dos courbé, savoir s’en aller
L’envie de l’absence alors que tout dehors ne fait jamais silence
Mais jamais de rancune, ce serait comme dire à la lune, je t’en veux, tu n’es que grise, noire et blanche
Au contraire je rêve de mer, de bleu, et de l’astre qui penche
Merci et à demain
Retrouver le bouquet rond et chaud de l’été
Et le vent, et la nuit, les chênes kermès, les genévriers
Le désir, tu sais, toi, de s’asseoir, de courir
À perte de vue, forêts noires ou des plages d’Afrique
Merci et à demain
Humble et le dos courbé, savoir s’en aller
L’envie de l’absence alors que tout dehors ne fait jamais silence
Mais jamais de rancune, ce serait comme dire à la lune, je t’en veux, tu n’es que grise, noire et blanche
Au contraire je rêve de mer, de bleu, et de l’astre qui penche
Merci et à demain
Retrouver le bouquet rond et chaud de l’été
Et le vent, et la nuit, les chênes kermès, les genévriers
Les fleurs de Braga, et le linge étendu sur les toits de Guimarães
Tout part à volo, tout brûle, mais apparemment rien ne presse
Merci et à demain
Se gonflent les égos comme des ballons d’hélium
Où s’envolent et s’éclatent, montgolfières à la cime, c’est la vie des hommes
Que fait-on de ce lègue tendre qu’on emprunte sans remettre
Qui cueillera les fleurs si ne restent des brûlures que les vapeurs en miettes
Merci et à demain
Et fatigué du monde, je délaisse l’endroit
Où l’on sourcille de peur, méconnaissant de l’autre, ce qui le rend comme toi ou moi
Merci et à demain
Tout part à volo, tout brûle, mais apparemment rien ne presse
Merci et à demain
Se gonflent les égos comme des ballons d’hélium
Où s’envolent et s’éclatent, montgolfières à la cime, c’est la vie des hommes
Que fait-on de ce lègue tendre qu’on emprunte sans remettre
Qui cueillera les fleurs si ne restent des brûlures que les vapeurs en miettes
Merci et à demain
Et fatigué du monde, je délaisse l’endroit
Où l’on sourcille de peur, méconnaissant de l’autre, ce qui le rend comme toi ou moi
Merci et à demain
À la roche du réel, j’adosse ma petitesse
Puisqu’on s’en fout, je me questionne
Qui a tiré sur la tendresse
Puisqu’on s’en fout, je me questionne
Qui a tiré sur la tendresse
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