Paroles de la chanson L'effet Que Ca Me Fait par Tina Rose
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Paroles de la chanson L'effet Que Ca Me Fait par Tina Rose
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
Je marche, je cours, en direction de cette station
A tout prix retrouver cette proximité
Ce mouvement de foule que nous formons
Ça transpire, ça m’inspire je pourrais prendre tant de plaisir
Je me laisse voguer, entrainer par les mouvements
De ce métro bondé, faut bien faire passer le temps
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
Je marche, je cours, en direction de cette station
A tout prix retrouver cette proximité
Ce mouvement de foule que nous formons
Ça transpire, ça m’inspire je pourrais prendre tant de plaisir
Je me laisse voguer, entrainer par les mouvements
De ce métro bondé, faut bien faire passer le temps
Et je passe mon temps, à imaginer
Des choses un peu osées
Regardez mon regard brûlant
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
Toutes ces odeurs corporelles me font vriller
Et je tourne, et je tourne, pour encore plus m’enivrer
Oh rattrapez-moi, touchez-moi, déshabillez-moi, enlacez vous
Que ces dernières stations rendent le monde jaloux
Moi c’es t lorsque sous terre mon corps pénètre
Des choses un peu osées
Regardez mon regard brûlant
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
Toutes ces odeurs corporelles me font vriller
Et je tourne, et je tourne, pour encore plus m’enivrer
Oh rattrapez-moi, touchez-moi, déshabillez-moi, enlacez vous
Que ces dernières stations rendent le monde jaloux
Moi c’es t lorsque sous terre mon corps pénètre
Que c’est mon heure de pointe, tirez le signal
Non n’ouvrez pas les fenêtres
Je veux que l’humidité s’installe
Je veux que la chaleur imprègne ce wagon
Que ce voyage soit beaucoup plus long
Que l’on assouvisse ensemble cette pulsion
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
A vous qui m’écoutez, voyez-vous le mal ?
À trouver ce qu’il y a de beau dans le sale ?
Bien-sûr je me contiens, pas comme tous ces mâles
Qui ne font pas la différence entre les fantasmes et la morale
Non n’ouvrez pas les fenêtres
Je veux que l’humidité s’installe
Je veux que la chaleur imprègne ce wagon
Que ce voyage soit beaucoup plus long
Que l’on assouvisse ensemble cette pulsion
Mais quel effet ça me fait
De me laisser tanguer au gré des gens
Mais quel effet ça me fait
De me sentir collée contre ces corps suants
Mais quel effet ça me fait
Mais quel effet ça me fait
A vous qui m’écoutez, voyez-vous le mal ?
À trouver ce qu’il y a de beau dans le sale ?
Bien-sûr je me contiens, pas comme tous ces mâles
Qui ne font pas la différence entre les fantasmes et la morale
Mais quel effet ça fait ?
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