Paroles de la chanson Embrase Moi par Toan
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Paroles de la chanson Embrase Moi par Toan
Lorsqu’on m’annonce la maladie, je me croyais éternelle
J'ai vu le vide débouler sur moi, un océan de fuel
Jette l'allumette, je suis prête, le feu ne me touche pas
J'ai chaud, je brûle, mais il ne me touche pas
Il sèche mes larmes, elles s'évaporent avant de fuir mes yeux
On ne les verra plus, comme si je pleurais sous l’eau
Saoulée, je sens l’incendie sous mes paumes
Mais je ne sens pas l’moment-dit de soupirer mes psaumes
Crame, j’ai toujours bu l’eau de feu sans ciller
J'ai vu le vide débouler sur moi, un océan de fuel
Jette l'allumette, je suis prête, le feu ne me touche pas
J'ai chaud, je brûle, mais il ne me touche pas
Il sèche mes larmes, elles s'évaporent avant de fuir mes yeux
On ne les verra plus, comme si je pleurais sous l’eau
Saoulée, je sens l’incendie sous mes paumes
Mais je ne sens pas l’moment-dit de soupirer mes psaumes
Crame, j’ai toujours bu l’eau de feu sans ciller
Me voir vaciller, jamais, j’ai jamais su plier
Mon front perle, la buée couvre mes rétines
Tu crois que je perds pied, que je courbe l’échine
Mais j’suis faite du bois qui ne craint pas les flammes
Le mal fait de moi l’héritière de toutes ces femmes
Pour qui le brasier était réel mais qui ont fui le bûcher
Nées si près du soleil qu’elles ont pu le toucher
Tu me puedes quemar
A traves el fuego yo beso tu cara
Y eso no me quema. Mama.
Mon bel âtre, approche-toi que je te dompte
Mon front perle, la buée couvre mes rétines
Tu crois que je perds pied, que je courbe l’échine
Mais j’suis faite du bois qui ne craint pas les flammes
Le mal fait de moi l’héritière de toutes ces femmes
Pour qui le brasier était réel mais qui ont fui le bûcher
Nées si près du soleil qu’elles ont pu le toucher
Tu me puedes quemar
A traves el fuego yo beso tu cara
Y eso no me quema. Mama.
Mon bel âtre, approche-toi que je te dompte
Depuis l’annonce dans cette pièce blanche, les secondes se comptent
Ils prennent un bout de moi mais n’auront pas le reste
Je suis d’humeur vengeresse, même sous l’ouragan je reste
C’est de la suie qui sort quand je tousse
J’m’essuie la bouche pour pas que le malheur éclabousse
J’ai qu’ma boussole, les miens comme extincteur
Il craint pas la mort lorsque le phénix meurt
J’vais voir ma descendance après l’incandescent qui crépite dans mon sang
Pensant craindre la descente, je suis d’humeur dansante
Je danse avec les flammes qui brunissent ma peau d’opaline
Ils prennent un bout de moi mais n’auront pas le reste
Je suis d’humeur vengeresse, même sous l’ouragan je reste
C’est de la suie qui sort quand je tousse
J’m’essuie la bouche pour pas que le malheur éclabousse
J’ai qu’ma boussole, les miens comme extincteur
Il craint pas la mort lorsque le phénix meurt
J’vais voir ma descendance après l’incandescent qui crépite dans mon sang
Pensant craindre la descente, je suis d’humeur dansante
Je danse avec les flammes qui brunissent ma peau d’opaline
Brasero de l’âme, j’me courbe que sous les fourches caudines
Résurrection, que le tonnerre souffle les cendres
Radiation, un genou a terre mais pas prête de descendre
Que le souffle de vie traverse mon corps diaphane
Que le souffle d’envie reprenne mon corps de femme
Résurrection, que le tonnerre souffle les cendres
Radiation, un genou a terre mais pas prête de descendre
Que le souffle de vie traverse mon corps diaphane
Que le souffle d’envie reprenne mon corps de femme
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