Paroles de la chanson Les Couleurs Du Village par Toan
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Paroles de la chanson Les Couleurs Du Village par Toan
J’viens d’là ou le soleil blanc tape aux fenêtres
Où le vert des vignes colore ton périmètre
Des caractères trempés dans les ocres de garrigue
Un nuancier de visages que l’Aude prodigue
J’aime plonger et me perdre dans ce tableau
J’aime songer et me voir tenir ce pinceau
Peindre les yeux noirs de ceux dont l’amour déborde
Les accents résonnent sous les platanes et s’y accordent
Visage buriné, sous casquette vissé
Ressasser les années passées près d’une anisette glacée
L’estafette rouillée près du café, menthe à l’eau
Où le vert des vignes colore ton périmètre
Des caractères trempés dans les ocres de garrigue
Un nuancier de visages que l’Aude prodigue
J’aime plonger et me perdre dans ce tableau
J’aime songer et me voir tenir ce pinceau
Peindre les yeux noirs de ceux dont l’amour déborde
Les accents résonnent sous les platanes et s’y accordent
Visage buriné, sous casquette vissé
Ressasser les années passées près d’une anisette glacée
L’estafette rouillée près du café, menthe à l’eau
Où la façade rosée s’esquinte sous le sirocco
La danse légère lorsque les musiciens chauffent l’air
A refaire le monde plus bleu alors que se consume l’heure
Parfois je dessine dans un coin de page
Les visages des gens de mon petit village
Au pied du clocher des couleurs des images
Vivre loin de toi c’est un grand voyage
J’viens de là où les saisons nous rythment
Où la brique nue laisse grimper les glycines
Les mamies guettent depuis leurs volets bleu lavande
Et les petits pèques en vélos volés te la vendent
La danse légère lorsque les musiciens chauffent l’air
A refaire le monde plus bleu alors que se consume l’heure
Parfois je dessine dans un coin de page
Les visages des gens de mon petit village
Au pied du clocher des couleurs des images
Vivre loin de toi c’est un grand voyage
J’viens de là où les saisons nous rythment
Où la brique nue laisse grimper les glycines
Les mamies guettent depuis leurs volets bleu lavande
Et les petits pèques en vélos volés te la vendent
La cité domine dans son dédale de gris
L’argile des Corbières et les collines de l’Alaric
Les bodegas s’agitent de leurs drapeaux sang et or
Là les godets de vin carmin se vident sans effort
Les vieux portent encore leurs bleus de chine
Du tabac brun dépasse de leurs cigarettes roulées fines
Quand la fumée épaisse se mêle au ciel azur
Il me tarde ma retraite dans ma petite masure
L’argile des Corbières et les collines de l’Alaric
Les bodegas s’agitent de leurs drapeaux sang et or
Là les godets de vin carmin se vident sans effort
Les vieux portent encore leurs bleus de chine
Du tabac brun dépasse de leurs cigarettes roulées fines
Quand la fumée épaisse se mêle au ciel azur
Il me tarde ma retraite dans ma petite masure
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