Paroles de la chanson Madre Mediterranea par Toan
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Paroles de la chanson Madre Mediterranea par Toan
Les coquillages m’ont confié plus que les pierres
Il y a trois sortes d’hommes, les vivants, les morts, et les hommes en mer
Le mieux pour raconter la mer est de se taire
Mais faut croire que la raison est moins forte que l’imaginaire
Les pieds dans le ressac des vagues je me rêvais navigateur
Mais la terre me retient ferme ou alors c’est juste la peur
La mer c’est l’absolu, le cosmos à portée de main
Une barque en guise de vaisseau je partirai peut-être demain
C’est comme grandir près d’un parent qu’on connaîtra jamais vraiment
Il y a trois sortes d’hommes, les vivants, les morts, et les hommes en mer
Le mieux pour raconter la mer est de se taire
Mais faut croire que la raison est moins forte que l’imaginaire
Les pieds dans le ressac des vagues je me rêvais navigateur
Mais la terre me retient ferme ou alors c’est juste la peur
La mer c’est l’absolu, le cosmos à portée de main
Une barque en guise de vaisseau je partirai peut-être demain
C’est comme grandir près d’un parent qu’on connaîtra jamais vraiment
On rejoint vite la rive quand la houle le rend véhément
Mes rêves sont tellement bleus et souvent recouverts d’écume
Qu’ils m’emportent sous les lagunes, en guise de phare je n’ai que la lune
Le vide ne m’attire pas, je n’aime que le trop plein de tes voix
La fonte des glaciers ne m’effraie pas, s’il y a plus de toi
Tout ce qui est enfoui porte une dimension sacrée
J’aime te savoir opaque auréolée de tes secrets
J’veux pas voir que t’aies emporté au fond des flots
Les esquifs de réfugiés en quête d’idéaux
Mes rêves sont tellement bleus et souvent recouverts d’écume
Qu’ils m’emportent sous les lagunes, en guise de phare je n’ai que la lune
Le vide ne m’attire pas, je n’aime que le trop plein de tes voix
La fonte des glaciers ne m’effraie pas, s’il y a plus de toi
Tout ce qui est enfoui porte une dimension sacrée
J’aime te savoir opaque auréolée de tes secrets
J’veux pas voir que t’aies emporté au fond des flots
Les esquifs de réfugiés en quête d’idéaux
Je me dis que ta force te dépasse et que t’as fait de ton mieux
Pour les amortir sur le sable et les guider vers d’autres cieux
Les océans sont arrogants toi tu n’es qu’humilité
Tes eaux portent les héros d’exil depuis l’antiquité
Tes nuances me fascinent quand tu te fais noire comme un aimant
Mais je te préfère turquoise comme dans mes souvenirs d’enfant
La grande bleue est dure elle n’aime pas ses enfants pareil
Elle est contraste, ambivalente, douce et cruelle
Ses ports rejettent ceux qui lui tendent la main
La mer nous joint et nous sépare de ses courants
Pour les amortir sur le sable et les guider vers d’autres cieux
Les océans sont arrogants toi tu n’es qu’humilité
Tes eaux portent les héros d’exil depuis l’antiquité
Tes nuances me fascinent quand tu te fais noire comme un aimant
Mais je te préfère turquoise comme dans mes souvenirs d’enfant
La grande bleue est dure elle n’aime pas ses enfants pareil
Elle est contraste, ambivalente, douce et cruelle
Ses ports rejettent ceux qui lui tendent la main
La mer nous joint et nous sépare de ses courants
A la fois tragique et féconde
Ce qu’elle donne en une vie, elle le reprend en une seconde
Mer méditerranée, tu me rends solitaire
Ce disque est pour les exilés dont l’âme erre entre ciel et terre
Ce qu’elle donne en une vie, elle le reprend en une seconde
Mer méditerranée, tu me rends solitaire
Ce disque est pour les exilés dont l’âme erre entre ciel et terre
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