Paroles de la chanson Dernière sensation par Tony Truant
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Paroles de la chanson Dernière sensation par Tony Truant
Est-ce là la dernière sensation ?
Vu de derrière tant de tentations
Cet abcès est-ce la vie pop ?
Assassin je me salope
Tes faux cils me rendent marteau
Quand tu pleures ces larmes de croco
Tu grillerais les méninges
Du plus cool de tous les singes
Branchons donc le stroboscope
Fi des rasoirs sur l'époque
Reggae sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
Vu d'en bas c'est si beau
Tu as tout ce qu'il te faut
Mais d'en haut c'est bien plus laid
Vu de derrière tant de tentations
Cet abcès est-ce la vie pop ?
Assassin je me salope
Tes faux cils me rendent marteau
Quand tu pleures ces larmes de croco
Tu grillerais les méninges
Du plus cool de tous les singes
Branchons donc le stroboscope
Fi des rasoirs sur l'époque
Reggae sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
Vu d'en bas c'est si beau
Tu as tout ce qu'il te faut
Mais d'en haut c'est bien plus laid
Ça ne fait pas le même effet
Il y a du monde au balcon
Et pas grand chose de sacré
À part un troupeau de cons
Que j'aimerais tant massacrer
Branchons donc le stroboscope
Fi des rasoirs sur l'époque
Rumba sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
T'avais envie, j'étais en vie
T'avais des truies, j'étais détruit
J'étais des chiens, ils m'ont déchus
J'étais des leurs, il y en a eu
La fine équipe de bras cassés
C'est surtout au coude que nous sommes usés
Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre
On multiplie les pains en bon apôtre
Branchons donc le stroboscope
Il y a du monde au balcon
Et pas grand chose de sacré
À part un troupeau de cons
Que j'aimerais tant massacrer
Branchons donc le stroboscope
Fi des rasoirs sur l'époque
Rumba sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
T'avais envie, j'étais en vie
T'avais des truies, j'étais détruit
J'étais des chiens, ils m'ont déchus
J'étais des leurs, il y en a eu
La fine équipe de bras cassés
C'est surtout au coude que nous sommes usés
Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre
On multiplie les pains en bon apôtre
Branchons donc le stroboscope
Fi des rasoirs sur l'époque
Calypso sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
Il n'y a qu'à nous qu'on peut s'en prendre
Il faudra une corde solide pour qu'on nous pende
Haut et court, nous sommes des voyous
De la pire espèce, des sales papous
On s'occupe simplement de nos fesses
On ne cherche pas de poux, alors pas de promesses
Surtout qu'on tient à peine debout
Et ça la foutrait mal qu'on se casse à genoux
S'il est trop tard pour qu'en s'en sorte
On sautera par la fenêtre plutôt que de prendre la porte
La sentence sera lourde, on va tous morfler
Quand sonnera notre heure on ne pourra se débiner
Calypso sous la blafarde ambrée
Radical déterminé
Il n'y a qu'à nous qu'on peut s'en prendre
Il faudra une corde solide pour qu'on nous pende
Haut et court, nous sommes des voyous
De la pire espèce, des sales papous
On s'occupe simplement de nos fesses
On ne cherche pas de poux, alors pas de promesses
Surtout qu'on tient à peine debout
Et ça la foutrait mal qu'on se casse à genoux
S'il est trop tard pour qu'en s'en sorte
On sautera par la fenêtre plutôt que de prendre la porte
La sentence sera lourde, on va tous morfler
Quand sonnera notre heure on ne pourra se débiner
Nous rirons j'espère une dernière fois
En pensant à la charogne
Qui pas dégoûtée nous bouffera le foie
Et fera sans doute une drôle de trogne
On passera l'arme à gauche après tant de débauche
Ils videront nos poches, trouveront ça rien moche
Car il y a longtemps qu'on a tout mis au clou
Ça nous a à peine permis de boire un coup
Voilà on arrive rue aux lèvres
Marcel n'est pas loin, il prend la relève
Les dates sont fraîches, les nouvelles brèves
Fini les guéguerres, dansons sur la grève
Avant je dors puis après je sors
Je m'accroche au pinceau, je ne change pas de bord
Pierre Carré au travers des klaxons
En pensant à la charogne
Qui pas dégoûtée nous bouffera le foie
Et fera sans doute une drôle de trogne
On passera l'arme à gauche après tant de débauche
Ils videront nos poches, trouveront ça rien moche
Car il y a longtemps qu'on a tout mis au clou
Ça nous a à peine permis de boire un coup
Voilà on arrive rue aux lèvres
Marcel n'est pas loin, il prend la relève
Les dates sont fraîches, les nouvelles brèves
Fini les guéguerres, dansons sur la grève
Avant je dors puis après je sors
Je m'accroche au pinceau, je ne change pas de bord
Pierre Carré au travers des klaxons
Entame sa mélopée, noctambule comme personne
Jean de Pigalle nous donne le la
Cinéma vérité, vérité cinéma
Dans la cour Balthazar fait des ronds
Ce n'est pas pour plaire à l'administration
Paroles et musique : Tony Truant
Tony Truant : chant, guitare
Jean-Pierre Arnoux : batterie, percussions
Ernie Brooks : basse
Cyril Lefebvre : guitare hawaïenne et au goulot de bouteille
Joseph Racaille : piano, orgue, ukulélé, flûtiaux
Jeanne "la Duchesse des Bas-Fonds" Savary : chant
Jean de Pigalle nous donne le la
Cinéma vérité, vérité cinéma
Dans la cour Balthazar fait des ronds
Ce n'est pas pour plaire à l'administration
Paroles et musique : Tony Truant
Tony Truant : chant, guitare
Jean-Pierre Arnoux : batterie, percussions
Ernie Brooks : basse
Cyril Lefebvre : guitare hawaïenne et au goulot de bouteille
Joseph Racaille : piano, orgue, ukulélé, flûtiaux
Jeanne "la Duchesse des Bas-Fonds" Savary : chant
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