Paroles de la chanson Enduré par Tyran (COD)

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Paroles de la chanson Enduré par Tyran (COD)

Mec avec mille apathies, très souvent combattu
Têtu avec mille vertus, je m'évertue
Déjà averti de ne pas de stopper de sculpter ma statut
Qu'à l'aurore d'un éclat divin de la vertu
Demeure impartiale à l'espérance impartie
Foi sans gage, considéré idem à sa contrepartie
Petit, courez jusqu'au bout n'est pas que s'opposer débout
S'en aller sans la trouille plus qu'un runabout
Servitude indulgente atteint d'un point culminant
Sous style d'un job orienté alors très chagrinant
Dix fois sur le rap plus de 15 ans en bandana
Rempli de bonté pour l'illuminé d'impossible
Car grâce au courage que la tune lui sera accessible
Sinon la paresse n'est qu'un délit irrémissible
L'estime rendue à l'espoir et des doutes irréversibles

Les efforts nous feront des hommes forts
Comme la galère nous a fait des hommes grands
La lutte nous rendra la liberté
Comme la vérité finit toujours par triompher

Favorisé par l'ardeur plus de noblesse est offerte
Chemin de fer, que les uns fichent un job qu'ils savent faire
Je profère aux autres d'exercer l'art qu'ils préfèrent
Frère, pour y briller trimer son taf est aurifère
Je plains d'un crazy qui déplaît de son savoir-faire
Ignorant de plus amère défavorisée qu'ils ont souffert
Je combine ma fuite de la menteuse illusion du bonheur
Car parfois la plombe décampe souvent de mes désirs
Fait ses loisirs et s'envole sans pourtant me faire plaisir
Endurcir m'exige du tourment, man je dois le saisir
Ce qui est dedans, l'occasion est à moi de choisir
M'a promis de la plénitude dans mon quartier déconfit
M'accapare davantage la bonne conscience à son profit
L'oubli actif convenant à mon âme forte sans défit
L'esprit pénétra mal dans la matière et la parfit
Les efforts nous feront des hommes forts
Comme la galère nous a fait des hommes grands
La lutte nous rendra la liberté
Comme la vérité finit toujours par triompher

Ces versets inaugurent mon distinguo à la bête
En faite, s'attendre d'un miracle une entrave parfaite
Mec, après toute grâce venue fraîchement du ciel
De façon, soit surnaturelle ou même artificielle
L'état de grand truc est dans mes disques
Puisque… Endurcir n'est qu'une loi fixe mais prolixe
Affixe me contraint de m'employer sans répit ni risque
Des dèches qu'inflige surtout un métier rigoureux ;
Modernisent, enrichissent un monde malheureux ;
Affranchi des châtiments douloureux, rend des fauchés heureux ;
Saisit des trucs foireux, le rainaient des foutus enterrés
Altère la sphère extérieure opérée par l'homme généreux
Peureux, la sueur sauvait les taulards du forfait dangereux
Sans elle, les victimes seraient vraiment entre-dévorées
Comme des araignées murées dans un bocal non aéré

Les efforts nous feront des hommes forts
Comme la galère nous a fait des hommes grands
La lutte nous rendra la liberté
Comme la vérité finit toujours par triompher

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