Paroles de la chanson Digi-Maquis par Valentin
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Paroles de la chanson Digi-Maquis par Valentin
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On aime quand tu passes un moment
Clique deux fois avant d’entrer
Bienvenue dans ton monde du passé
On s’fait discret, on se compresse
T’es la seule qui connais l’adresse
Les maquisards de ton avant
Contre l’envahisseur amant
Toi la princesse, nous tes faiblesses
Ça doit rester confidentiel
Nous les remparts de la tristesse
Toi le pilier de la Chapelle
Nous sommes les archives de vos mails
On aime quand tu passes un moment
Clique deux fois avant d’entrer
Bienvenue dans ton monde du passé
On s’fait discret, on se compresse
T’es la seule qui connais l’adresse
Les maquisards de ton avant
Contre l’envahisseur amant
Toi la princesse, nous tes faiblesses
Ça doit rester confidentiel
Nous les remparts de la tristesse
Toi le pilier de la Chapelle
Nous sommes les archives de vos mails
Les photos de vacances pêle-mêle
Vivant comme des bêtes traquées
Car tu n’es plus seule désormais
Pour ne jamais tourner la page
Laisse-nous monter vers les nuages
Et si t’as froid, parfois au large
Que t’as peur de refaire naufrage
Si ton âme s’efface sous le fard
Jette ton ancre pour un soir,
Ensemble on replantera le décor
On s’rappellera qu’on s’aima fort
Dimanche soir tu nous as plantés
Pour un resto, puis un ciné
Laisse couler, on t’en veut pas
Mais l’cafard, c’est mieux avec toi
Vivant comme des bêtes traquées
Car tu n’es plus seule désormais
Pour ne jamais tourner la page
Laisse-nous monter vers les nuages
Et si t’as froid, parfois au large
Que t’as peur de refaire naufrage
Si ton âme s’efface sous le fard
Jette ton ancre pour un soir,
Ensemble on replantera le décor
On s’rappellera qu’on s’aima fort
Dimanche soir tu nous as plantés
Pour un resto, puis un ciné
Laisse couler, on t’en veut pas
Mais l’cafard, c’est mieux avec toi
Belle on prend peur, faut l’avouer
C’est flippant la promiscuité
Déjà des frères effacés
Raflés par une tasse de café
Tu nous as déjà déplacés
Et t’as renommé le dossier
L’armée des ombres dissimulées
Sous des alias renouvelés
Pour ne jamais tourner la page
Laisse-nous monter vers les nuages
Et si t’as froid, parfois au large
Que t’as peur de refaire naufrage
Si ton âme s’efface sous le fard
Jette ton ancre pour un soir,
T’as juste à cliquer sans effort
Pour qu’on répondre au chant du cor
Peu de séquelles
Deux, trois pixels
Quelques méga
Mais on est là
Ciao la belle,
Dans la nacelle
Au bout d’tes doigts
Même au-delà
Pour qu’on répondre au chant du cor
Peu de séquelles
Deux, trois pixels
Quelques méga
Mais on est là
Ciao la belle,
Dans la nacelle
Au bout d’tes doigts
Même au-delà
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