Paroles de la chanson Petite Vallee par Valérian Renault
Auteurs: Valerian Renault
Compositeurs: Valerian Renault
Editeurs: Abacaba
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Paroles de la chanson Petite Vallee par Valérian Renault
C’est un petit théâtre à Petite Vallée
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé.
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter
Deux trois petites notes d’un’ petite chanson
Pour dire aux gens d’ici combien, moi, de petit
Je ne vois que le nom.
Ici ce qu’on appelle un fleuve
Moi j’appelle ça l’océan
C’est si grand que quand les matins pleuvent
Tout le ciel vient se noyer dedans.
Pour moi qui viens de France
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé.
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter
Deux trois petites notes d’un’ petite chanson
Pour dire aux gens d’ici combien, moi, de petit
Je ne vois que le nom.
Ici ce qu’on appelle un fleuve
Moi j’appelle ça l’océan
C’est si grand que quand les matins pleuvent
Tout le ciel vient se noyer dedans.
Pour moi qui viens de France
Ici tout est immense
Le temps et la distance
Et puis aussi les gens
Z’ont des bras de cent pieds
Qu’ils laissent grands ouverts
Et l’on peut sans manière
Venir s’y réchauffer.
C’est un petit théâtre à Petite Vallée
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé.
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter.
À Paris sur les bords de la Seine
Tu peux passer la saison
En attendant que passent les baleines
Le temps et la distance
Et puis aussi les gens
Z’ont des bras de cent pieds
Qu’ils laissent grands ouverts
Et l’on peut sans manière
Venir s’y réchauffer.
C’est un petit théâtre à Petite Vallée
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé.
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter.
À Paris sur les bords de la Seine
Tu peux passer la saison
En attendant que passent les baleines
Sois content si tu vois un gardon.
Pour moi qui viens de France
Ici tout est immense
Le temps et la distance
Et puis aussi les gens
Z’ont des bras de cent pieds
Qu’ils laissent grands ouverts
Et l’on peut sans manière
Venir s’y réchauffer.
Ici le moindre « bonjour »
Se donne avec les mains, les bras, les yeux, le cœur, le ventre, la voix
Chez moi
On appell’rait ça l’grand amour
Et l’amour on le donne pas
On le donne pas
Pour moi qui viens de France
Ici tout est immense
Le temps et la distance
Et puis aussi les gens
Z’ont des bras de cent pieds
Qu’ils laissent grands ouverts
Et l’on peut sans manière
Venir s’y réchauffer.
Ici le moindre « bonjour »
Se donne avec les mains, les bras, les yeux, le cœur, le ventre, la voix
Chez moi
On appell’rait ça l’grand amour
Et l’amour on le donne pas
On le donne pas
On le déclare...
Comm’ les impôts.
C’est un petit théâtre à Petite Vallée
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter
Deux trois petites notes d’une petite chanson
Pour dire aux gens d’ici combien, moi, de petit
Je ne vois que le nom.
Comm’ les impôts.
C’est un petit théâtre à Petite Vallée
Où suivant mon petit bonhomme de chemin je m’étais retrouvé
Un tout petit théâtre à Petite Vallée
Où petit à petit m’est venu l’appétit d’écrire et de chanter
Deux trois petites notes d’une petite chanson
Pour dire aux gens d’ici combien, moi, de petit
Je ne vois que le nom.
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