Paroles de la chanson Lettre A L'homme par Valérie Costa
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Paroles de la chanson Lettre A L'homme par Valérie Costa
Homme,
Oserais-tu te regarder avec les yeux d'un étranger ?
Et si un voyageur au bout de l'univers
Te demandait un jour: " Quelle est donc ton histoire ? "
Resterais-tu aussi droit, aussi fier
Devant le reflet du miroir ?
Homme,
Tu ne veux pas vivre à genoux
Mais d'où tiens-tu qu'on te doit tout ?
Tu te crois l'Elu sur la Terre
Comment, par qui et pourquoi faire ?
En ne pensant qu'à profiter
Tu oublies qu'un jour il faudra payer.
Oserais-tu te regarder avec les yeux d'un étranger ?
Et si un voyageur au bout de l'univers
Te demandait un jour: " Quelle est donc ton histoire ? "
Resterais-tu aussi droit, aussi fier
Devant le reflet du miroir ?
Homme,
Tu ne veux pas vivre à genoux
Mais d'où tiens-tu qu'on te doit tout ?
Tu te crois l'Elu sur la Terre
Comment, par qui et pourquoi faire ?
En ne pensant qu'à profiter
Tu oublies qu'un jour il faudra payer.
Tout ce qui n'est pas blanc, n'est pas forcément noir
Laisse donc une place au hasard
Dans ta quête de vérité
N'as-tu vraiment rien oublié ?
Souviens-toi que l'espérance, se nourrit de tolérance
En refusant l'indifférence, on peut se donner une chance.
Homme,
Tu t'évertues à consigner chaque étape de ton passé
Quel chemin parcouru depuis l'Age de pierre !
A défier la nature, à dépasser la peur
L'expérience ne vaut que si elle sert
A ne pas copier nos erreurs.
Homme,
Homme fanatique ou sceptique
Tu veux prouver que tout s'explique.
Tu ne pourra jamais remplacer
La force qui a tout créé
Tu perds ta vie à tout guerroyer
Cherchant le bonheur du mauvais coté.
Tout ce qui n'est pas blanc, n'est pas forcément noir
Laisse donc une place au hasard
Dans ta quête de vérité
N'as-tu vraiment rien oublié ?
A quoi bon gaspiller autant d'intelligence
Pour obéir au mal et ignorer le bien ?
Et d'où te vient tant d'insouciance
Devant ceux qui meurent de faim ?
Toi qui en sait plus désormais
Que ce que les Anciens n'osaient imaginer
Ton envie de confort, de pouvoir et d'éternité
Détruit à petit feu la Terre qui t'a enfanté
Qui t'a enfanté...
Tout ce qui n'est pas blanc, n'est pas forcément noir
Mais laisse donc une place au hasard !
Dans ta quête de vérité
N'as-tu vraiment rien oublié ?
Souviens-toi que l'espérance, se nourrit de tolérance
En refusant l'indifférence, on peut se donner une chance.
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