Paroles de la chanson Malabar Princess par Vendredi sur Mer
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Paroles de la chanson Malabar Princess par Vendredi sur Mer
j’suis pas assez forte pour oublier
oublier les vallées qui me tordent
j’passe ma vie à les imaginer
sans pour autant pouvoir faire de l’ordre
je n’sais plus par quel chemin les retrouver
ces montagnes et ces vallées que j’adorais
c’est comme si le vent les avait parsemées
dans chaque endroit où je décide d’habiter
je n’sais plus par quel chemin me retrouver
j’ai le coeur en miettes, les idées épuisées
tout est vide et moi je finis par sombrer
dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
pas la peine de crier, l’écho me revient
et maintenant qu’elles sont loin
oublier les vallées qui me tordent
j’passe ma vie à les imaginer
sans pour autant pouvoir faire de l’ordre
je n’sais plus par quel chemin les retrouver
ces montagnes et ces vallées que j’adorais
c’est comme si le vent les avait parsemées
dans chaque endroit où je décide d’habiter
je n’sais plus par quel chemin me retrouver
j’ai le coeur en miettes, les idées épuisées
tout est vide et moi je finis par sombrer
dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
pas la peine de crier, l’écho me revient
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
j’ai volé au-dessus de ces villages enfantins
j’suis pas assez forte pour rejouer
rejouer les cartes dans le bon ordre
j’passe mes nuits à tout re-mélanger
comme s’il fallait tirer sur la corde…
je n’sais plus par quel chemin les retrouver
ces montagnes et ces vallées que j’adorais
c’est comme si le vent les avait parsemées
dans chaque endroit où je décide d’habiter
je n’sais plus par quel chemin me retrouver
j’ai le coeur en miettes, les idées épuisées
tout est vide et moi je finis par sombrer
dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
pas la peine de crier, l’écho me revient
et maintenant qu’elles sont loin
j’ai volé au-dessus de ces villages enfantins
j’suis pas assez forte pour rejouer
rejouer les cartes dans le bon ordre
j’passe mes nuits à tout re-mélanger
comme s’il fallait tirer sur la corde…
je n’sais plus par quel chemin les retrouver
ces montagnes et ces vallées que j’adorais
c’est comme si le vent les avait parsemées
dans chaque endroit où je décide d’habiter
je n’sais plus par quel chemin me retrouver
j’ai le coeur en miettes, les idées épuisées
tout est vide et moi je finis par sombrer
dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
pas la peine de crier, l’écho me revient
et maintenant qu’elles sont loin
si souvent, j’y reviens
j’ai volé au-dessus de ces villages enfantins
l’écho me revient…
à mes démons, à mes envies de jeunesse
j’finirai par m’crasher comme le malabar princess
j’ai volé au-dessus de ces villages enfantins
l’écho me revient…
à mes démons, à mes envies de jeunesse
j’finirai par m’crasher comme le malabar princess
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