Paroles de la chanson Mortelles Pensees par Véronique Sanson
Auteurs: Véronique Sanson
Compositeurs: Véronique Sanson
Editeurs: Piano Blanc (Societe Des Editions Musicales)
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Paroles de la chanson Mortelles Pensees par Véronique Sanson
Lui
Si délicat dans sa tendresse
Si raffiné dans ses caresses
Que j’ai tenu dans mes bras
Quand il avait besoin de moi
Je l’ai quitté pour d’autres mains
Pour des briseurs de destin
Et des empêcheurs d’exister
Bien fait pour moi
Si vous saviez comme je l’aimais
Plus qu’aucun autre je l’admirais
Depuis dans un brouillard
Je ne sais plus où je vais
Et je me ratatine à petits pas
Et je bous de le revoir
Si délicat dans sa tendresse
Si raffiné dans ses caresses
Que j’ai tenu dans mes bras
Quand il avait besoin de moi
Je l’ai quitté pour d’autres mains
Pour des briseurs de destin
Et des empêcheurs d’exister
Bien fait pour moi
Si vous saviez comme je l’aimais
Plus qu’aucun autre je l’admirais
Depuis dans un brouillard
Je ne sais plus où je vais
Et je me ratatine à petits pas
Et je bous de le revoir
Pour apaiser mon désespoir
Je voudrais fuir vers d’autres nuits
Et j’ai chanté seulement pour lui
Nos souvenirs qui nous ressemblent
Et qui nous hantent
Qui s’en vont vers le soleil
Lui
Qui m’a dit d’un ton vainqueur
Qu’il n’y avait plus de doute ni de douleur
Dans ma musique, ni dans mon cœur
Je le tuerais d’avoir pensé ça
Et s’il y a des choses qu’il ignore
Il n’a qu’à m’écouter plus fort
Jusqu’à ce que la mort de l’un
Ou bien de l’autre
Souffle la bulle de nos amours
Je voudrais fuir vers d’autres nuits
Et j’ai chanté seulement pour lui
Nos souvenirs qui nous ressemblent
Et qui nous hantent
Qui s’en vont vers le soleil
Lui
Qui m’a dit d’un ton vainqueur
Qu’il n’y avait plus de doute ni de douleur
Dans ma musique, ni dans mon cœur
Je le tuerais d’avoir pensé ça
Et s’il y a des choses qu’il ignore
Il n’a qu’à m’écouter plus fort
Jusqu’à ce que la mort de l’un
Ou bien de l’autre
Souffle la bulle de nos amours
Lui
Sans qui je ne serais rien au monde
Je l’aimerai toujours à genoux
Je vis ma vie oh ! comme tout le monde
Le temps dessèche ce qu’il inonde
Et pour avoir connu l’immonde
Je voudrais vivre le meilleur
Ce qui n’arrive que dans les contes
Qu’on dit sur l’heure
Où notre lune s’en va très haut
Et quand les dieux sont au repos.
Sans qui je ne serais rien au monde
Je l’aimerai toujours à genoux
Je vis ma vie oh ! comme tout le monde
Le temps dessèche ce qu’il inonde
Et pour avoir connu l’immonde
Je voudrais vivre le meilleur
Ce qui n’arrive que dans les contes
Qu’on dit sur l’heure
Où notre lune s’en va très haut
Et quand les dieux sont au repos.
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