Paroles de la chanson L'appareil à spleen par VII
Chanson manquante pour "VII" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "L'appareil à spleen"
Proposer une correction des paroles de "L'appareil à spleen"
Paroles de la chanson L'appareil à spleen par VII
Malgré la dèche et la machine, j'ai la magie de mes légendes
Gardez la pêche tant que la vie ne vous a pas coupé les jambes
Si tu veux toucher les étoiles, tout est question de discipline
Mais j'entends l'appareil à spleen me fredonner que tout va mal
Bordel, j'en ai bavé mais j'suis solide
Inutile de vous tatouer de vous bourrer de stéroïdes
J'repars sur mon astéroïde classé B-612
Une rose et des volcans, j'vois que la vie n'est pas si courte
Et que la course derrière le temps ne mène qu'à des ultimatums
Gardez la pêche tant que la vie ne vous a pas coupé les jambes
Si tu veux toucher les étoiles, tout est question de discipline
Mais j'entends l'appareil à spleen me fredonner que tout va mal
Bordel, j'en ai bavé mais j'suis solide
Inutile de vous tatouer de vous bourrer de stéroïdes
J'repars sur mon astéroïde classé B-612
Une rose et des volcans, j'vois que la vie n'est pas si courte
Et que la course derrière le temps ne mène qu'à des ultimatums
Mais la nature n'a pas de plan pour le bien-être des hommes
Je continue l'exploration, je parcours mes déchirures
Moi ma passion pour l'écriture n'est qu'une immense consolation
Sanctuaire de la pensée pure, déserter les alentours
Aller vivre dans ma lune pour le restant de mes jours
Métamorphose dans la matrice, la source est douce-amère
Le papillon n'est qu'un ancien vilain vermisseau dans la terre
Introspection nébuleuse, un grain de sable dans les rouages
Une pièce défectueuse, un instrument de sabotage
Je continue l'exploration, je parcours mes déchirures
Moi ma passion pour l'écriture n'est qu'une immense consolation
Sanctuaire de la pensée pure, déserter les alentours
Aller vivre dans ma lune pour le restant de mes jours
Métamorphose dans la matrice, la source est douce-amère
Le papillon n'est qu'un ancien vilain vermisseau dans la terre
Introspection nébuleuse, un grain de sable dans les rouages
Une pièce défectueuse, un instrument de sabotage
Bactérie imperturbable, un misérable spécimen
Je suis la preuve indiscutable de l'échec de vos systèmes
Les yeux cyniques et durs de tous ceux qui en ont trop vu
Y aura toujours une ordure pour fertiliser l'ovule
L'espoir se désagrège déception sentimentale
Et le progrès n'est qu'un piège à souris monumental
J'attends de l'apaisement, je n'obtiens que du déni
Solennellement, fils de Judas, fils de putain, soyez bénis
Seulement 20 mètres carrés, aménager sa solitude
Cinquième étage, vue sur la plage ou sur un désert de bitume
Je suis la preuve indiscutable de l'échec de vos systèmes
Les yeux cyniques et durs de tous ceux qui en ont trop vu
Y aura toujours une ordure pour fertiliser l'ovule
L'espoir se désagrège déception sentimentale
Et le progrès n'est qu'un piège à souris monumental
J'attends de l'apaisement, je n'obtiens que du déni
Solennellement, fils de Judas, fils de putain, soyez bénis
Seulement 20 mètres carrés, aménager sa solitude
Cinquième étage, vue sur la plage ou sur un désert de bitume
Le monde moderne a rendu terne, l'homme tiède et incrédule
Je ne fais pas de pe-ra, je ne vends que de l'inquiétude
L'échec n'entache en rien la sincérité de mes gestes
Cafardeux tous les festins ont la même saveur indigeste
Quand la vie se déroule tel un mauvais synopsis
Que tout s'écroule, que tu ne parles qu'in articulo mortis
Identité dérisoire, mais je viens la revendiquer
Mon paradis a les murs noirs et des couloirs alambiqués
La nuit amplifie mes tracas, j'ai du mal à fermer l’œil
Je vais sapé de mon linceul porter la perte et le fracas
Je ne fais pas de pe-ra, je ne vends que de l'inquiétude
L'échec n'entache en rien la sincérité de mes gestes
Cafardeux tous les festins ont la même saveur indigeste
Quand la vie se déroule tel un mauvais synopsis
Que tout s'écroule, que tu ne parles qu'in articulo mortis
Identité dérisoire, mais je viens la revendiquer
Mon paradis a les murs noirs et des couloirs alambiqués
La nuit amplifie mes tracas, j'ai du mal à fermer l’œil
Je vais sapé de mon linceul porter la perte et le fracas
Texte à l'arrache tellement bateau, voix de robot duplicata
Le seul de mes châteaux sera celui de Franz Kafka
Et mon histoire n'est pas si grave, je n'oublie pas les jours joyeux
Fond de la casse comme une épave, j'ai le sourire des chiens galeux
Jamais les yeux ne m'ont trompé alors je lis dans vos regards
Désorienté, rester patient quand le beau temps prend du retard
Le seul de mes châteaux sera celui de Franz Kafka
Et mon histoire n'est pas si grave, je n'oublie pas les jours joyeux
Fond de la casse comme une épave, j'ai le sourire des chiens galeux
Jamais les yeux ne m'ont trompé alors je lis dans vos regards
Désorienté, rester patient quand le beau temps prend du retard
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)