Paroles de la chanson Pompéi par VII

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Paroles de la chanson Pompéi par VII

Sentimental insolite, spécimen fait de fêlures
Rassemblage hétéroclite de crânes et de fémurs
J'ai la clé, pas la serrure, les années coulent entre mes doigts
J'avance au ralentit entre l'alpha et l'oméga
Voyage irréversible, bonheur insoutenable
Sculpté l'insurmontable dans l'atelier du possible
Peuple apathique amassé devant les écrans
Poste atomique je rebâtis en me désintégrant
Dans les confins de l'âme et de la conscience humaine
Comme Ursula Le Guin et le Cycle de l'Ekumen
Échappé de mon abdomen, tout m'est insuportable
De quelle misère tu parles ? On marche en matant nos portables
J'épure mon écriture depuis le stade embryonnaire
Lyrics d'un visionnaire comme si je venais du futur
Je vous apporte la paix, rien n'est plus fragile
La guerre est à la porté du premier des imbéciles

Derrière les murs de labyrinthe il y a des murs de labyrinthe
Des futurs autocrates endormis dans des femmes enceintes
Un penchant pour le pogrom, humain d'humeur génocidaire
Protéiforme, la cinquième tête de cerbère
Derrière les murs de labyrinthe il y a des murs de labyrinthe
Des futurs autocrates endormis dans des femmes enceintes
Un penchant pour le pogrom, humain d'humeur génocidaire
Dans nos cadavres légendaires le nom de Pompéi résonne

Mais l'animalité gouverne l'homme depuis des lustres
Un bulbe inhabité entre la casquette et le buste
Quelques pas de recul, Abel et puis le meurtre
Je capitule, la fraternité n'est pas dans nos moeurses
En préambule je viens du sperme et de l'ovule
Déambule au-dessus du vide sur le fil d'un funambule
Le rap et moi, un syndrome de Stockolm
Comme un ulcère affreux sur le corps d'un microcosme
Inconsciemment depuis longtemps, j'entame un long chemin
Paisiblement j'attends que vienne à moi les lendemains
La peur et le repli, les nouveaux rois qui nous gouvernent
Déséquilibre transitoire dans mon oreille interne
Un peu naïf, un surfeur de terrain vague
Aucune alternative, la vie n'est qu'une mauvaise blague
Et moi j'éprouve comme un dégoût monumental
De n'être qu'un écrou dans l'organisme social
Le ciel s'écroule comme un plafond sur le bitume
De mon bocal à poisson le monde à la forme d'un tube
On a besoin les uns et autres pour s'entre dévorer
De quelques tortionnaires en herbe à pouvoir décorer

Derrière les murs de labyrinthe il y a des murs de labyrinthe
Des futurs autocrates endormis dans des femmes enceintes
Un penchant pour le pogrom, humain d'humeur génocidaire
Protéiforme, la cinquième tête de cerbère
Derrière les murs de labyrinthe il y a des murs de labyrinthe
Des futurs autocrates endormis dans des femmes enceintes
Un penchant pour le pogrom, humain d'humeur génocidaire
Dans nos cadavres légendaires le nom de Pompéi résonne

{Outro]
Mais l'animalité gouverne l'homme depuis des lustres
Un bulbe inhabité entre la casquette et le buste
Quelques pas de recul, Abel et puis le meurtre
Je capitule, la fraternité n'est pas dans nos moeurses

[Scratch : DJ Monark]
Pom-pom-pompéi
Partout a guerre éclate
Pom-pom-pompéi
Ils veulent qu'on fonce dans le mur
Pom-pom-pompéi
Partout a guerre éclate
Pom-pom-pompéi
Fonce dans le mur

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