Paroles de la chanson Cauchemar par Vincent Althiery

(Yeah)
Tant de fatigue, tant de fatigue
Regarde où j’suis ma
Sûrement pas d’autres voies
Sans runes on se comprend d’un souffle
D’ici j’contemple ma montagne
Le corps doit suivre la mentale
(Pour ça qu’à chaque réveil j’souffre)
Fais-moi voir des lights (yeah, yeah, yeah)
Jusqu’à me rendre sourd (yeah, yeah, yeah)
Cadrant matinal
Indique mes détours
Les aiguilles pointent vers moi
(Oublié)
Même si tout y est
J’fais que sourciller

La patience oscille, bon
Quand est-ce qu’on sort de mon cauchemar lucide
On progresse trop vite et l’entraînement est long
J’y crois car ma
Mif sera là dans l’fond, j’serai rien sans eux
J’espère tenir parole quand on sera au goût
Pas me faire exploiter par ceux qui exploitent des Ouïghours
Colossaux sont les travaux
Sale-té de vie
(Paw) Kennedy, j’ride
Paradis, loin d’ici j’perds
Le chemin du retour (du retour)
Sans retour

Mes épaules
Supporteront peut-être pas le poids des ailes blanches
L’entraînement à l’aube, fini je débranche
Et je me téléporte dans tes draps
Mais je t’envie bae
Pars pas loin sans moi
Je le fais pour nous
Demain sera meilleur
Je te le promets
Il faut que tu y crois
Sinon je suis tout seul
Dans mon cauchemar

Je souris toujours avant de savoir si c’est grave
On se refait à chaque fois c’est ça la ie-v

Reviens bae me laisse pas voguer seul sur la lave
Je m’ennuie par ici les rues sont vides sans toi
L’été sanglote ça m’inspire pour peindre des toiles
Dans la grotte comme des zombies ma mère me reconnaît pas
Petit apeuré par les ghosts maintenant j’rêve d’en voir
Téma tout ce qu’on donne tu penses qu’on croit aux miracles ?
Toujours, sans doute sur la mission, dévolu à la cause
Changer le monde autour de moi ça m’empêche de dormir
Je fais des cauchemars le jour j’ai besoin de m’autodétruire
Creuser la prose

10g du plug dans la sacoche
Arigato
Envole-moi
Je suis reconnaissant je vais pouvoir prouver que toute ma mif a tord
L’école me baise, et moi je baise l’intérim, faut pas m’en vouloir
Je me sens bien qu’en rappant, amnésique ou en toi
La vision rétrécit comme quand je passe un rapport
Un peu détruit de la veille
J’repense au mal que j’ai fait
(Il faudrait que je le dilue)
Les leçons comprises on les choisira
(Si j’vois rouge après coup c’est la bonne pilule)
Regarde, (regarde, regarde, regarde, regarde)

Regarde comme c’est beau là-bas
Si tu veux que je t’amène, il faut que tu t’accroches fort
On reviendra jamais pour pas finir l’histoire
Une fenêtre ouverte sur le monde, on écoute parfois pour savoir ce qu’il se passe
Tu m’aimeras peut-être un petit peu moins tout au fond mais il faut que j’y aille pour revoir la surface
(Pour revoir la surface, pour revoir la surface, pour revoir la surface)

Mes épaules
Supporteront peut-être pas le poids des ailes blanches
L’entraînement à l’aube, fini je débranche

(J’sais que, j’sais que, j’sais que), je sais que tu y crois
(J’sais que, j’sais que, j’sais que, j’sais que)
Toujours sous son emprise
J’veux pas encore partir
Si jamais j’lâche prise
Est-ce que tu me rattraperas ?

Rien d’vrai ni de faux tout dépend d’qui tu crois
T’es jolie dans le noir je suis pas sûr de faire l’poids
On peut l’faire all day si on
(Commence dès le matin)
(Quand on se lance on)
J’plane d’vant un défilé de points
Eux ils me parlent de destin

On choisira le lieu de notre crash
Je contemple la vue d’en bas
Il fait chaud sur ma nuque les rayons sont forts
Je peux sentir ton ombre
(Oh my ma oh my ma oh)
On peut le faire all day si on
(s’fout de ce qu’on devient)
Viens-là juste 2 s’condes pour qu’on s’aime un peu
J’sais pas si l’effet s’estompe avec toi j’suis high
(Viens-là juste 2 s’condes prends mon)

On dirait qu’il y a le sun la night
Tout est devenu bizarre
Printemps désabusé
Profite du temps qui me reste
J’allonge un peu l’parcours

Pour savoir ce qu’on aura
(Soma, Soma, fort)
(Soma m’cache même le sun)
Soma, Soma, stop
J’ai l’vertige je veux descendre

Toujours sous son emprise
Je veux pas encore partir
(Si jamais je lâche prise)
L’altitude est bonne, climat tempéré
Chaque fois que j’me perds, ouais
(Est-ce que tu me rattraperas ?)
Peut-être que j’le fais exprès

(Seul dans ma détente)
(Charbonne) la tête en bas
La nuit on s’enchante
Des rayons de décibels
Cassé sous la gueule d’ange
J’veux pas me réveiller
Je me dépose au tournant
L’océan peut pas me combler
On préfère se noyer
Autrement
(Ensemble)
Dis-moi tout ce que tu voulais
On ira le chercher
Mais on ira tout à l’heure
Là je sens plus mes jambes
Je suis debout en tailleur
Baby je sais que je suis le meilleur
Ou peut-être qu’elle m’aime assez
(Pour que j’y crois moi aussi)
(Ou que je me sente un peu moins seul)

Toujours sous son emprise
Je veux pas encore partir
(Si jamais je lâche prise)
L’altitude est bonne, climat tempéré
Chaque fois que j’me perds, ouais
(Est-ce que tu me rattraperas ?)
Peut-être que j’le fais exprès

Par où on flex c’est pas eux qui règnent
Je peux voir que t’as peur à ton épiderme
Lance flammes quand ça gaz sur les Yamaha
(Hummm)
Ça va blow tonight
Ça va blow tonight
(Maintenant c’est dangereux)
Ça va blow tonight
Ça va blow tonight
Ça va blow tonight
(Ça va blow tonight)
Pop sur le rooftop comme des fireworks
Quand j’suis dans cet état j’commets pas d’erreur
Paré pour une longue night (pour une longue night)
La tête chaude, je vois opaque, je cons’ pourtant je sens d’jà plus mes jambes
Il faut que je tienne jusqu’au daylight (il faut que je tienne jusqu’au daylight)
J’me parle à moi-même j’t’écoute plus enculé
Ce soir c’est la merde j’ai des flashbacks
Entouré j’suis seul tout m’paraît étrange
(Ça va blow tonight)
Il faut que je tienne jusqu’au daylight
(Ça va blow tonight)

Voilà pas mal de temps que je gamberge
Ça compte pas pour eux c’est le projet d’ma life
Je pense pas à l’après faut que je sorte de là
Sans regretter les pertes tout est réel
Fuck un rappeur qui fait l’aristocrate
Slowlife un peu par peur du clonage
Maudite somme m’a fait perdre des proches
Qu’importe la couleur je suis camouflé dans le gaz
Ma famille dans l’cœur
FAM hardcore
nerø meurt pas après l’décompte