Paroles de la chanson 6.35 par Vîrus
Paroles de la chanson 6.35 par Vîrus
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?…
Direct, j’me suis promis d’leur mettre recto-rectum
Le p’tit garçon qui s’trouve moche deviendra Parabellum
C’qui explique un tel acharmement
C’est qu’y a cette deadline
Que souvent les plus responsables se dédouanent
Avec des si, on coupe des doigts
Devant une connerie à faire, on a le choix d’être bête ou d’être lâche
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
Commence en bounçant, finit en bain d’sang
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?…
Direct, j’me suis promis d’leur mettre recto-rectum
Le p’tit garçon qui s’trouve moche deviendra Parabellum
C’qui explique un tel acharmement
C’est qu’y a cette deadline
Que souvent les plus responsables se dédouanent
Avec des si, on coupe des doigts
Devant une connerie à faire, on a le choix d’être bête ou d’être lâche
Ça devrait être un devoir d’avoir des droits
D’après c’que j’sache
Tu parles mal, retourne-moi, je ferai le même poids
Croiser le diable, tenter d’lui revendre son hâmeçon
Pour mieux t’amputer, ils te feront voir Neil Armstrong
Faire diversion quand la 11 exige qu’on s’affronte
J’étouffais, nan, t’imagine pas que j’me la raconte
Question d’éducation
J’suis pour les grosses tartes dans la gueule, avec des explications
Mes plus grandes fiertés sont mes inactions
Seulement, le temps ne fait qu’affûter le boomerang
D’après c’que j’sache
Tu parles mal, retourne-moi, je ferai le même poids
Croiser le diable, tenter d’lui revendre son hâmeçon
Pour mieux t’amputer, ils te feront voir Neil Armstrong
Faire diversion quand la 11 exige qu’on s’affronte
J’étouffais, nan, t’imagine pas que j’me la raconte
Question d’éducation
J’suis pour les grosses tartes dans la gueule, avec des explications
Mes plus grandes fiertés sont mes inactions
Seulement, le temps ne fait qu’affûter le boomerang
L’avantage d’un hurlement, c’est qu’on le comprend dans toutes les langues
Tous veulent des bras de mec en fauteuil roulant
Violence légitimée par plein de faits marquants
Dans un bouchon, j’me suis dit que j’lirai Mein Kampf…
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?
La voisine frappe sa fille, elle pourrait au moins fermer la porte
Mon pote avait la foi, il fût touché à l’aorte
Le pardon que t’accordes montre que t’as des torts
Le mieux qu’on puisse faire, c’est se mettre d’accord pour être en désaccord
Tous veulent des bras de mec en fauteuil roulant
Violence légitimée par plein de faits marquants
Dans un bouchon, j’me suis dit que j’lirai Mein Kampf…
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?
La voisine frappe sa fille, elle pourrait au moins fermer la porte
Mon pote avait la foi, il fût touché à l’aorte
Le pardon que t’accordes montre que t’as des torts
Le mieux qu’on puisse faire, c’est se mettre d’accord pour être en désaccord
Une arme lourde permet de prendre du recul
Devine c’qu’il me reste quand j’prends une gifle et que je n’en rends qu’une
Pourtant, avant, j’étais pour les Verts quand jaunes et bleus se renvoyaient la balle
Maintenant, j’m’en fous que ça parte en bagarre générale
J’sépare ma vie en compartiments étanches
Que personne puisse remarquer le moindre comportement étrange
Il aurait vraiment fallu que j’sois une feuille pour qu’je tremble
C’qui nous énerve le plus dans une guerre, c’est qu’on se ressemble
Donc, j’irai me coucher quand j’serai moins vénèr, rien n’y fait, ni la verveine, ni la verve à Verlaine
Eh, c’est bien connu, toujours s’méfier des plus sages
Devine c’qu’il me reste quand j’prends une gifle et que je n’en rends qu’une
Pourtant, avant, j’étais pour les Verts quand jaunes et bleus se renvoyaient la balle
Maintenant, j’m’en fous que ça parte en bagarre générale
J’sépare ma vie en compartiments étanches
Que personne puisse remarquer le moindre comportement étrange
Il aurait vraiment fallu que j’sois une feuille pour qu’je tremble
C’qui nous énerve le plus dans une guerre, c’est qu’on se ressemble
Donc, j’irai me coucher quand j’serai moins vénèr, rien n’y fait, ni la verveine, ni la verve à Verlaine
Eh, c’est bien connu, toujours s’méfier des plus sages
C’est peut-être eux qu’ont vécu en tout premier leur dépucelage…
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?
Monsieur, rien de dangereux sur vous ? Ni taser, ni Sig Sauer ?
En bon coupable, tu n’peux qu’accuser le coup
Il rend beaucoup de monnaie ce distributeur
Les mea-culpa, c’est pour ceux qu’ont des fesses à la place des joues
Sous-couvert d’une dette, ils te passent au crible
Le pire, c’est de ne pas avoir d’objectif et d’être sensible
Accessible à une sanction pénale
De tous les crimes possibles, seul le suicide reste légal
On dit excès ou accès de violence ?
On dit excès ou accès de violence ?
Monsieur, rien de dangereux sur vous ? Ni taser, ni Sig Sauer ?
En bon coupable, tu n’peux qu’accuser le coup
Il rend beaucoup de monnaie ce distributeur
Les mea-culpa, c’est pour ceux qu’ont des fesses à la place des joues
Sous-couvert d’une dette, ils te passent au crible
Le pire, c’est de ne pas avoir d’objectif et d’être sensible
Accessible à une sanction pénale
De tous les crimes possibles, seul le suicide reste légal
Les autres payent mal mais bon tout se négocie
Si ça te gêne, si ça te gêne… Dis-toi que moi, ça me génocide
Tant de temps à bloquer sur le mobile
J’ai pris du morbide, tentant de quitter ce néant qui entoure le vide
Raconter son histoire, ça rend les autres impuissants voire étrangers
Le changement s’fera dans le sang pour pas changer
C’était ça ou j’vous préparais une bombe avec de simples produits ménagers
J’t’arrête tout d’suite, c’était le chtar ou les chtarbés
Ou un mélange des deux, mate la cellule matelassée
Dites-moi c’qui faut que j’regrette ? Le point positif, si j’prends perpét’, au moins ma vie sera fête…
Si ça te gêne, si ça te gêne… Dis-toi que moi, ça me génocide
Tant de temps à bloquer sur le mobile
J’ai pris du morbide, tentant de quitter ce néant qui entoure le vide
Raconter son histoire, ça rend les autres impuissants voire étrangers
Le changement s’fera dans le sang pour pas changer
C’était ça ou j’vous préparais une bombe avec de simples produits ménagers
J’t’arrête tout d’suite, c’était le chtar ou les chtarbés
Ou un mélange des deux, mate la cellule matelassée
Dites-moi c’qui faut que j’regrette ? Le point positif, si j’prends perpét’, au moins ma vie sera fête…
J’sais pas comment ça va finir tout ça… enfin si… mais de quelle façon ?... Ça j’sais pas…
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