Paroles de la chanson Le bus par Wallace Cleaver
Chanson manquante pour "Wallace Cleaver" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Le bus"
Proposer une correction des paroles de "Le bus"
Paroles de la chanson Le bus par Wallace Cleaver
Han, han
Yeah
Ça fait longtemps qu'le cœur gelé voulait parler au printemps
Donc quand j'te parle de m'en sortir, j'te parle de maintenant
La plus grosse connerie qu'j'ai cru à vingt ans, c'était d'penser qu'j'allais être heureux à vingt ans
Dernier "Je t'aime" au moi d'enfant, on s'verra pas d'sitôt
Tout seul à Blois sur la quatre voies, j'écoute "S3" d'Niro
Et j'me disais, le père Noël, c'est le sosie de papa, mais bizarre il pleurait sur du Renaud quand j'l'apercevais par l'rideau
Yeah
Ça fait longtemps qu'le cœur gelé voulait parler au printemps
Donc quand j'te parle de m'en sortir, j'te parle de maintenant
La plus grosse connerie qu'j'ai cru à vingt ans, c'était d'penser qu'j'allais être heureux à vingt ans
Dernier "Je t'aime" au moi d'enfant, on s'verra pas d'sitôt
Tout seul à Blois sur la quatre voies, j'écoute "S3" d'Niro
Et j'me disais, le père Noël, c'est le sosie de papa, mais bizarre il pleurait sur du Renaud quand j'l'apercevais par l'rideau
Jeune blanc-bec, les yeux dans les nuages, dans la tempête, ils sont grands les coups de gaz
Et si j'arrive à gérer mon temps, c'est qu'j'ai une Patek avec Dieu dans les rouages
Et j'me souviens on était quinze prêts sur une ligne de départ, y en a quatorze que j'ai jamais revu sur la ligne d'arrivée
Ici y a des anciens, igo, eux c'est des forces de la nature
Toujours deux cartouches de douze dans la grande poche du jean à rivet
Moi j'suis né pour niquer Paris et puis rien d'autre et mon café m'dit "J'ai le syndrome"
Ici pas de psy, pas un humain, donc on s'assoit contre un arbre, on ferme les yeux, on parle aux fantômes
Mais tout niquer hein, c'est pas le rêve hein, on va partir vite et bien et ça c'est certain
Et si j'arrive à gérer mon temps, c'est qu'j'ai une Patek avec Dieu dans les rouages
Et j'me souviens on était quinze prêts sur une ligne de départ, y en a quatorze que j'ai jamais revu sur la ligne d'arrivée
Ici y a des anciens, igo, eux c'est des forces de la nature
Toujours deux cartouches de douze dans la grande poche du jean à rivet
Moi j'suis né pour niquer Paris et puis rien d'autre et mon café m'dit "J'ai le syndrome"
Ici pas de psy, pas un humain, donc on s'assoit contre un arbre, on ferme les yeux, on parle aux fantômes
Mais tout niquer hein, c'est pas le rêve hein, on va partir vite et bien et ça c'est certain
En attendant j'crois qu'tout ça c'est le destin
Petit à petit, j'retrouve des grands morceaux d'mon cœur quand j'marche dans Berlin
Moi, ma définition : j'en veux toujours plus
J'm'habille avec la peine, que voulez-vous d'plus ?
Veulent me donner des conseils d'merde de gars qu'on rien fait
T'as pas compris, j'suis un campagnard avec des gouts d'luxe
Toujours une garo dans l'bec et un paquet dans l'fut'
J'veux un appart' dans le VII, une baraque dans l'Sud
Et si tu veux me rejoindre si j'pars, faudra qu'tu cours plus
J'ai pas changé, j'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
Petit à petit, j'retrouve des grands morceaux d'mon cœur quand j'marche dans Berlin
Moi, ma définition : j'en veux toujours plus
J'm'habille avec la peine, que voulez-vous d'plus ?
Veulent me donner des conseils d'merde de gars qu'on rien fait
T'as pas compris, j'suis un campagnard avec des gouts d'luxe
Toujours une garo dans l'bec et un paquet dans l'fut'
J'veux un appart' dans le VII, une baraque dans l'Sud
Et si tu veux me rejoindre si j'pars, faudra qu'tu cours plus
J'ai pas changé, j'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
J'marche sur l'chemin embrumé mais y a du sang par endroit
J'lis les contrats, ils disent j'ai l'doctorat en droit
Ils peuvent essayer d'm'en mettre qu'une seule, mais l'lendemain j'leur en plante quarante-trois
Petit, j'ai compris qu'le monde j'l'aurais pas tout d'suite, donc obligé de construire le notre avec des bouts d'shit
Et si un jour ça pue la guerre, faut qu'on leur explique que ça sert à rien l'pare-balle en Gucci
J'écris des photos, j'fais des clichés rétiniens, comment croire en l'amour quand son cri paraît si loin ?
Premier "Je t'aime", j'ai pas dormi pendant deux semaines parce que j'me souvenais plus si j'l'avais dit bien
Cette vie joue la conne, elle est où la bête ?
Faut qu'j'tue le truc à corne, mais il est où le corps ? Et elle est où la tête ?
La lame de sous la gorge va croiser celle d'au-dessus ma tête
Si tu veux tout le cœur, assume les trous avec
Moi, ma définition : j'en veux toujours plus
J'm'habille avec la peine, que voulez-vous d'plus ?
Veulent me donner des conseils d'merde de gars qu'on rien fait
T'as pas compris, j'suis un campagnard avec des gouts d'luxe
Toujours une garo dans l'bec et un paquet dans l'fut'
J'veux un appart' dans le VII, une baraque dans l'Sud
Faut qu'j'tue le truc à corne, mais il est où le corps ? Et elle est où la tête ?
La lame de sous la gorge va croiser celle d'au-dessus ma tête
Si tu veux tout le cœur, assume les trous avec
Moi, ma définition : j'en veux toujours plus
J'm'habille avec la peine, que voulez-vous d'plus ?
Veulent me donner des conseils d'merde de gars qu'on rien fait
T'as pas compris, j'suis un campagnard avec des gouts d'luxe
Toujours une garo dans l'bec et un paquet dans l'fut'
J'veux un appart' dans le VII, une baraque dans l'Sud
Et si tu veux me rejoindre si j'pars, faudra qu'tu cours plus
J'ai pas changé, j'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
Merci
J'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
J'ai pas changé, j'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
Merci
J'suis à B-L-O et j'prends toujours l'bus
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)