Paroles de la chanson La Tête Brûlée par William Sheller
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Paroles de la chanson La Tête Brûlée par William Sheller
C'était une liaison singulière
Comme on en vit parfois.
Dans des légendes étrangères
Vous et moi.
C'était, de songe en éveil
Des monts et merveilles
Quand j'étais dans vos bras
Avec des mots à vivre et qui couraient pas là,
Des forêts de désirs pour de grands lits de bois.
C'était une chanson familière
Comme on en joue parfois.
Au fond d'un pays désert,
Vous et moi.
Comme on en vit parfois.
Dans des légendes étrangères
Vous et moi.
C'était, de songe en éveil
Des monts et merveilles
Quand j'étais dans vos bras
Avec des mots à vivre et qui couraient pas là,
Des forêts de désirs pour de grands lits de bois.
C'était une chanson familière
Comme on en joue parfois.
Au fond d'un pays désert,
Vous et moi.
C'était, de rouge en vermeil
Le coeur, le soleil
Quand j'étais dans vos bras
Et toutes les ombres longues à tous ces moments-là,
D'un premier jour du monde et qui n'en finit pas.
Si j'écris des mots comme ça,
C'est parce qu'il pleut sur la ville
Et j'ai mal de toi.
La chanson grise sur les toits
De l'eau qui coule sur les tuiles
Comme une obsession tranquille
Danse avec moi
Ce fût une liaison éphémère
Comme il en est parfois
Dans les hasard de la guerre
Vous et moi.
Ce fut la longue route au calvaire
On peut plus revenir en arrière
Accroché à vos bras
Avec le cieur qui cogne et l'autre qui s'en va
Et l'on est plus personne et l'on en reste là.
Ce fut une solution nécessaire
Alors que d'aller tout droit
Se dire qu'il y a tant à faire
Devant soi
Ce furent les adieux à Cythère
Et les eaux froides de la mer.
Dieu sait quand reviendra.
Dans les hasard de la guerre
Vous et moi.
Ce fut la longue route au calvaire
On peut plus revenir en arrière
Accroché à vos bras
Avec le cieur qui cogne et l'autre qui s'en va
Et l'on est plus personne et l'on en reste là.
Ce fut une solution nécessaire
Alors que d'aller tout droit
Se dire qu'il y a tant à faire
Devant soi
Ce furent les adieux à Cythère
Et les eaux froides de la mer.
Dieu sait quand reviendra.
Avec des voiles blanches par dessus tout ça,
Au matin d'un dimanche qui n'en finit pas.
Si j'écris des mots comme ça,
C'est parce qu'il pleut sur la ville
Et j'ai mal de toi.
La chanson grise sur les toits
De l'eau qui coule sur les tuiles
Comme une obsession tranquille
Danse avec moi
Si j'écris des mots comme ça,
C'est parce qu'il pleut sur la ville
Et j'ai mal de toi.
La chanson grise sur les toits
De l'eau qui coule sur les tuiles
Comme une obsession tranquille
Danse avec moi
Au matin d'un dimanche qui n'en finit pas.
Si j'écris des mots comme ça,
C'est parce qu'il pleut sur la ville
Et j'ai mal de toi.
La chanson grise sur les toits
De l'eau qui coule sur les tuiles
Comme une obsession tranquille
Danse avec moi
Si j'écris des mots comme ça,
C'est parce qu'il pleut sur la ville
Et j'ai mal de toi.
La chanson grise sur les toits
De l'eau qui coule sur les tuiles
Comme une obsession tranquille
Danse avec moi
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