Paroles de la chanson Fin d'été par Wolf DRZ
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Paroles de la chanson Fin d'été par Wolf DRZ
Un disque de Led Zep' dans la voiture en boucle
Un soleil fiévreux et cette bagnole on double
Le son de l'écume qui rencontre le sable
De cette plage exotique au grain insaisissable
On était 5 à se serrer dans cette caisse
Le genre d'ambiance qui oublie la vitesse
Des rires au naturel sans une once de défonce
Finalement c'est vers le soleil qu'on fonce
Je l'ai rencontré un soir tel un mirage
Avec ce genre de démarche qui oublie les virages
Je venais m'échouer sur cette plage endormie
Et c'est là que je l'ai vu les yeux fixant le vide
Un soleil fiévreux et cette bagnole on double
Le son de l'écume qui rencontre le sable
De cette plage exotique au grain insaisissable
On était 5 à se serrer dans cette caisse
Le genre d'ambiance qui oublie la vitesse
Des rires au naturel sans une once de défonce
Finalement c'est vers le soleil qu'on fonce
Je l'ai rencontré un soir tel un mirage
Avec ce genre de démarche qui oublie les virages
Je venais m'échouer sur cette plage endormie
Et c'est là que je l'ai vu les yeux fixant le vide
Le clair de lune qui dessinait ses formes
Les cheveux volant qui défiait cet orme
La chimie s'opère lorsqu'elle lève les yeux
De leurs bleus m'hypnotisent et m'amène en d'autres lieux
Elle était parfaite encore plus chaque soir
Ce genre de sourire qui t'éclaire dans le noir
On danse et j'en oublie le vide
Corps contre corps la mécanique des fluides
On voulait refaire le monde nos idées sur cette plage
Ou comme Bonnie and Clyde profiter sans être sage
Se souvenir à jamais malgré l'âge
En attendant rien d'écrit sur cette page
Les cheveux volant qui défiait cet orme
La chimie s'opère lorsqu'elle lève les yeux
De leurs bleus m'hypnotisent et m'amène en d'autres lieux
Elle était parfaite encore plus chaque soir
Ce genre de sourire qui t'éclaire dans le noir
On danse et j'en oublie le vide
Corps contre corps la mécanique des fluides
On voulait refaire le monde nos idées sur cette plage
Ou comme Bonnie and Clyde profiter sans être sage
Se souvenir à jamais malgré l'âge
En attendant rien d'écrit sur cette page
Mais on s'en fout on ride
Fin d'été approche début des reproches
On s'aime mais on se fuit on se fusille pour des "si"
Le goût amer de cette rose et de ses ronces
Les pieds dans le sable mais cette fois je m'enfonce
Pourquoi faut-il que je sois aussi con ?
Tu me parles de nous deux moi je te parle de mes sons
La musique me rend fou mais tes courbes encore plus
J'ai juste oublié de te le dire pas d'excuses
Tu es partie ce soir et n'es jamais revenue
Laissant en moi le seul souvenir de tes jambes nues
Fin d'été approche début des reproches
On s'aime mais on se fuit on se fusille pour des "si"
Le goût amer de cette rose et de ses ronces
Les pieds dans le sable mais cette fois je m'enfonce
Pourquoi faut-il que je sois aussi con ?
Tu me parles de nous deux moi je te parle de mes sons
La musique me rend fou mais tes courbes encore plus
J'ai juste oublié de te le dire pas d'excuses
Tu es partie ce soir et n'es jamais revenue
Laissant en moi le seul souvenir de tes jambes nues
Le parfum enivrant de ton absence dans le vent
J'tente d'oublier avec du rhum dans le sang
Je m'échoue sur ce sable la cassette tourne en boucle
La mer comme ma vue se dissout et se trouble
Ce soleil couchant à la fin on s'en lasse
Je me réveille sur cette plage et ton visage s'efface
J'tente d'oublier avec du rhum dans le sang
Je m'échoue sur ce sable la cassette tourne en boucle
La mer comme ma vue se dissout et se trouble
Ce soleil couchant à la fin on s'en lasse
Je me réveille sur cette plage et ton visage s'efface
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