Paroles de la chanson Mamie, mamita, mamino par Yves Duteil
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Paroles de la chanson Mamie, mamita, mamino par Yves Duteil
Mamie, mamita, mamino
Ont porté un enfant très tôt
La première a seize ans et comme un écho
Vous avez repris le flambeau
Tu m'as souvent compté l'histoire
Elle est gravée dans ta mémoire
Un clin d'oeil du destin dans la famille
Qui s'est transmis de mère en fille
Et puis l'arbre a porté ses fruits
En bonheur qui vous ont construit
Les bivouacs en montagne à la belle étoile
Et les îles en Corse à la voile
Les premiers négatifs couleurs
Les tirages à l'agrandissage
Les éclipses de Lune et la comète
Ont porté un enfant très tôt
La première a seize ans et comme un écho
Vous avez repris le flambeau
Tu m'as souvent compté l'histoire
Elle est gravée dans ta mémoire
Un clin d'oeil du destin dans la famille
Qui s'est transmis de mère en fille
Et puis l'arbre a porté ses fruits
En bonheur qui vous ont construit
Les bivouacs en montagne à la belle étoile
Et les îles en Corse à la voile
Les premiers négatifs couleurs
Les tirages à l'agrandissage
Les éclipses de Lune et la comète
Les nuits blanches autour des planètes
Les Noëls, les anniversaires
Et les robes qui tournent en l'air
Les costumes, la danse et la couture
Les myrtilles et les confitures
On a tous un livre à écrire
Des images et des souvenirs
Qu'on emporte en secret dans nos bagages
Et la mer dans un coquillage
J'ai refait la route à l'envers
Rue Didot, rue du Moulin Vert
La tendresse de ces années vécues
Au hasard d'un temps révolu
Aujourd'hui je vous vois toujours
Sous de grands figuiers dans la cours
Qui résonnent encore de vos aventures
Les Noëls, les anniversaires
Et les robes qui tournent en l'air
Les costumes, la danse et la couture
Les myrtilles et les confitures
On a tous un livre à écrire
Des images et des souvenirs
Qu'on emporte en secret dans nos bagages
Et la mer dans un coquillage
J'ai refait la route à l'envers
Rue Didot, rue du Moulin Vert
La tendresse de ces années vécues
Au hasard d'un temps révolu
Aujourd'hui je vous vois toujours
Sous de grands figuiers dans la cours
Qui résonnent encore de vos aventures
De vos rires, de vos blessures
Jamais rien ne s'est effacé
Les visages et le temps passé
On posait tant d'amour dans vos regards
Et la force de t'émouvoir
Je revois briller dans les yeux
Les reflets de ces jours heureux
Quelque part entre Doisneau et Prévert
Dans le Paris de l'après-guerre
Tu m'as tellement compté l'hsitoire
Qu'elle s'est gravée dans ma mémoire
Ta mamie, mamita, et toi mamino
Vous m'avez transmis le flambeau
Jamais rien ne s'est effacé
Les visages et le temps passé
On posait tant d'amour dans vos regards
Et la force de t'émouvoir
Je revois briller dans les yeux
Les reflets de ces jours heureux
Quelque part entre Doisneau et Prévert
Dans le Paris de l'après-guerre
Tu m'as tellement compté l'hsitoire
Qu'elle s'est gravée dans ma mémoire
Ta mamie, mamita, et toi mamino
Vous m'avez transmis le flambeau
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