Paroles de la chanson Je passais par hasard par Yves Jamait
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Paroles de la chanson Je passais par hasard par Yves Jamait
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
De vous voir amoureux
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
De vous voir amoureux
Bien que de temps en temps
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
C'est dans cet esprit-là
Que je franchis le seuil
De cette jolie maison
Née d'un désir nuptial
Mais là, je reste coi
Interdit sur l'écueil
Qui brise la passion
En horreur conjugale
Nous voilà tous les deux
Accablés de silence
Je cherche en vain les mots
Qui pourraient te porter
Effacer tous ces bleus
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
C'est dans cet esprit-là
Que je franchis le seuil
De cette jolie maison
Née d'un désir nuptial
Mais là, je reste coi
Interdit sur l'écueil
Qui brise la passion
En horreur conjugale
Nous voilà tous les deux
Accablés de silence
Je cherche en vain les mots
Qui pourraient te porter
Effacer tous ces bleus
Enfin, des mots qui pansent
Et se glissent sur ta peau
Au corps terrorisé
Mes mains de mâle honteux
Tremblent de te toucher
Je m'approche quand même
Et te prends dans mes bras
Tu t'enfouis dans le creux
De mon cou pour pleurer
Tu dis "c'est la énième fois
Qu'il me fait ça"
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
Et se glissent sur ta peau
Au corps terrorisé
Mes mains de mâle honteux
Tremblent de te toucher
Je m'approche quand même
Et te prends dans mes bras
Tu t'enfouis dans le creux
De mon cou pour pleurer
Tu dis "c'est la énième fois
Qu'il me fait ça"
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
De vous voir amoureux
Bien que de temps en temps
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
Et que ça fait longtemps
Déjà qu'il te dérouille
Tant il est persuadé
Que tu dragues au passage
Et son regard dément
Te fait crever de trouille
Quand il vient soulager
Avec ses poings sa rage
Si ses poings n' suffisent pas
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
De vous voir amoureux
Bien que de temps en temps
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
Et que ça fait longtemps
Déjà qu'il te dérouille
Tant il est persuadé
Que tu dragues au passage
Et son regard dément
Te fait crever de trouille
Quand il vient soulager
Avec ses poings sa rage
Si ses poings n' suffisent pas
Il frappe avec les pieds
Quand, tombée sur le sol
Comme une bête inerte,
Tu caches de tes bras
Ton visage tuméfié
Alors, le coup de grolle
N'en est que plus alerte
Alors, le coup de grolle
N'en est que plus alerte
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
Quand, tombée sur le sol
Comme une bête inerte,
Tu caches de tes bras
Ton visage tuméfié
Alors, le coup de grolle
N'en est que plus alerte
Alors, le coup de grolle
N'en est que plus alerte
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Et je trouvais charmant,
Idéal et bluffant
De vous voir amoureux
Bien que de temps en temps
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
Je ne reconnais pas
A travers cette ordure
Celui que j'ai aimé
Qu'aujourd'hui je vomis
Il était pas comme ça
Enfin, j'en suis plus sûr,
Il faut l'avoir été
Pour être aussi pourri
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Bien que de temps en temps
C'en était presque chiant
De vous sentir heureux
Je ne reconnais pas
A travers cette ordure
Celui que j'ai aimé
Qu'aujourd'hui je vomis
Il était pas comme ça
Enfin, j'en suis plus sûr,
Il faut l'avoir été
Pour être aussi pourri
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
Qui fondent les espoirs
D'un "c'est possible à deux"
Viens
Je n'ai que ma tendresse
Viens, viens, viens là contre moi
Viens
Et pour que tout ça cesse
Viens, je t'emmène avec moi
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
D'un "c'est possible à deux"
Viens
Je n'ai que ma tendresse
Viens, viens, viens là contre moi
Viens
Et pour que tout ça cesse
Viens, je t'emmène avec moi
Je passais par hasard
Je passais pour vous voir
Pour retrouver un peu
De ces amitiés rares
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