Paroles de la chanson Rien De Vous par Yves Jamait
Chanson manquante pour "Yves Jamait" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Rien De Vous"
Proposer une correction des paroles de "Rien De Vous"
Paroles de la chanson Rien De Vous par Yves Jamait
Je ne sais rien de vous
Sinon que vous passez
Juste devant le square
A dix-sept heures quarante
Et que je trouve doux
D’avoir à respirer
Votre haleine le soir
Dans la brise qui vente
Je ne sais rien de vous
Sinon que vous portez
Des chaussures à talons
Qui vous gantent le pied
Et là je vous avoue
Sinon que vous passez
Juste devant le square
A dix-sept heures quarante
Et que je trouve doux
D’avoir à respirer
Votre haleine le soir
Dans la brise qui vente
Je ne sais rien de vous
Sinon que vous portez
Des chaussures à talons
Qui vous gantent le pied
Et là je vous avoue
En vous voyant passer
Devant mon guéridon
J’aimerais vous arrêter
Mais je ne bouge pas, vous ne saurez rien
De ce qui bas en moi et restera vain
Pourtant quand je vous vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si jamais je vous songe
Je ne sais rien de vous
Sinon que la lumière
Que dépose l’automne
Sur votre chevelure
A des reflets si fous
Que les arbres sont fiers
De poser je soupçonne
Dans la même peinture
Devant mon guéridon
J’aimerais vous arrêter
Mais je ne bouge pas, vous ne saurez rien
De ce qui bas en moi et restera vain
Pourtant quand je vous vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si jamais je vous songe
Je ne sais rien de vous
Sinon que la lumière
Que dépose l’automne
Sur votre chevelure
A des reflets si fous
Que les arbres sont fiers
De poser je soupçonne
Dans la même peinture
Je ne sais rien de vous
Si mes pupilles louchent
De leur douce impudeur
C’est dans le tendre espoir
Que vous tourniez la joue
Et que vos yeux me touchent
De leur pale couleur
D’une saison d’un soir
Mais je ne boug’rai pas, vous ne saurez rien
De ce qui bat en moi et restera vain
Chaque fois que je te vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si vraiment je vous songe
J’ai tout aimé de vous
Qui venez de passer
Juste devant le square
A dix-sept heure quarante
Et dont je trouvais doux
D’avoir à respirer
Cette haleine le soir
Et la brise qui vente
Je savais ça de vous
Quand il est arrivé
Etranglant mon espoir
De ses mains indécentes
J’ai tout haï de vous
Qui mangiez ses baisers
En tuant notre histoire
A dix-sept heure cinquante
A dix-sept heure quarante
Et dont je trouvais doux
D’avoir à respirer
Cette haleine le soir
Et la brise qui vente
Je savais ça de vous
Quand il est arrivé
Etranglant mon espoir
De ses mains indécentes
J’ai tout haï de vous
Qui mangiez ses baisers
En tuant notre histoire
A dix-sept heure cinquante
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)