Paroles de la chanson Rene, Ma Vie, Monsang par Yvette Horner
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Paroles de la chanson Rene, Ma Vie, Monsang par Yvette Horner
René, la vie sans toi n’est qu’un souffle de vie
La musique sans toi, est-ce encor’ la musique ?
Dans mon cœur orphelin, un rêve inassouvi
Te fait me revenir en couplets nostalgiques
De tant de souvenirs que mon cœur emmitoufle
Tu resteras ma joie, mon amour, mon mari
De mon premier soleil jusqu’à mon dernier souffle
René, tu resteras le bonheur de ma vie
Le soir où ton regard a croisé mon chemin
J’ai senti sous mes pieds se dérober la terre
Qu’aurais-je été sans toi qui m’as pris par la main
La musique sans toi, est-ce encor’ la musique ?
Dans mon cœur orphelin, un rêve inassouvi
Te fait me revenir en couplets nostalgiques
De tant de souvenirs que mon cœur emmitoufle
Tu resteras ma joie, mon amour, mon mari
De mon premier soleil jusqu’à mon dernier souffle
René, tu resteras le bonheur de ma vie
Le soir où ton regard a croisé mon chemin
J’ai senti sous mes pieds se dérober la terre
Qu’aurais-je été sans toi qui m’as pris par la main
Pour unir à jamais nos vies si singulières
Et je revois Papa, dans l’hôtel de Toulouse
Quand, pour te présenter, j’avais dû lui mentir
Mon cœur adolescent s’affolait sous ma blouse,
Mais mentir par amour, est-ce vraiment mentir ?
Et puis ce fut Paris et nos premiers contrats
Nos premiers cabarets dans la nuit de Pigalle
Imposant, malgré tout, mes morceaux d’opéra
Pour tracer mon chemin vers la Coupe Mondiale
Je nous revois, René, sillonnant notre France
Roulant de bal en bal jusqu’à l’épuisement
Sans jamais s’arrêter, avec pour récompense
Le doux crépitement des applaudissements
Et je revois Papa, dans l’hôtel de Toulouse
Quand, pour te présenter, j’avais dû lui mentir
Mon cœur adolescent s’affolait sous ma blouse,
Mais mentir par amour, est-ce vraiment mentir ?
Et puis ce fut Paris et nos premiers contrats
Nos premiers cabarets dans la nuit de Pigalle
Imposant, malgré tout, mes morceaux d’opéra
Pour tracer mon chemin vers la Coupe Mondiale
Je nous revois, René, sillonnant notre France
Roulant de bal en bal jusqu’à l’épuisement
Sans jamais s’arrêter, avec pour récompense
Le doux crépitement des applaudissements
Nos milliers de galas, nos onze Tours de France
Et l’auto qui fendait la ferveur du public
Nos fous rires amoureux, nos amis, nos vacances
Qui provoquaient nos joies sur un simple déclic
Je n’oublierai jamais la maison de Nogent
Que tu as voulue pour moi comme un nid de douceur
Toute parée de fleurs et d’arbres de cent ans
Qui restera pour moi la maison du bonheur
Lorsque la maladie voulut nous séparer
J’aurais donné pour toi tout le sang de mes veines
Et tout abandonné pour ne pas te quitter
J’aurais laissé ma vie pour partager la tienne
Et comment oublier, quand tu rendis les armes
Que j’ai joué pour toi pour la dernière fois
Et l’auto qui fendait la ferveur du public
Nos fous rires amoureux, nos amis, nos vacances
Qui provoquaient nos joies sur un simple déclic
Je n’oublierai jamais la maison de Nogent
Que tu as voulue pour moi comme un nid de douceur
Toute parée de fleurs et d’arbres de cent ans
Qui restera pour moi la maison du bonheur
Lorsque la maladie voulut nous séparer
J’aurais donné pour toi tout le sang de mes veines
Et tout abandonné pour ne pas te quitter
J’aurais laissé ma vie pour partager la tienne
Et comment oublier, quand tu rendis les armes
Que j’ai joué pour toi pour la dernière fois
Sur mon accordéon qui partageait mes larmes
L’air que tu aimais tant, "le berger d’autrefois"
Tu n’avais qu’un seul but, que ma vie soit sereine
Que je n’aie pas d’ennuis était ton seul souci
Pour m’avoir tant donné, pour nos joies, pour nos peines
Face à l’éternité, mon cœur te dit merci
L’air que tu aimais tant, "le berger d’autrefois"
Tu n’avais qu’un seul but, que ma vie soit sereine
Que je n’aie pas d’ennuis était ton seul souci
Pour m’avoir tant donné, pour nos joies, pour nos peines
Face à l’éternité, mon cœur te dit merci
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