Paroles de la chanson Voix-off par Zélie
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Paroles de la chanson Voix-off par Zélie
Déjà un moment qu'j'me sens aller mieux
Allégée, à l'inverse de la veille j'peux
Regarder par cette fenêtre du train et sentir que les larmes montent toutes seules parce qu'elles comprennent enfin
C'que c'est qu'aimer le jour et dormir bien
Rêver toujours, donner sa main
Sans t'attendre, et surtout sans t'entendre dans ma tête comme une voix-off tristement là
Trop évidente, vissée en moi parce que j'disais, "Ça m'rend vivante" et puis tu croyais qu'y'avait pas d'vie, pas d'existence après tout ça, mais c'était faux
Et j'finis toujours par dire "tu" quand j'parle de moi, c'est aberrant
Allégée, à l'inverse de la veille j'peux
Regarder par cette fenêtre du train et sentir que les larmes montent toutes seules parce qu'elles comprennent enfin
C'que c'est qu'aimer le jour et dormir bien
Rêver toujours, donner sa main
Sans t'attendre, et surtout sans t'entendre dans ma tête comme une voix-off tristement là
Trop évidente, vissée en moi parce que j'disais, "Ça m'rend vivante" et puis tu croyais qu'y'avait pas d'vie, pas d'existence après tout ça, mais c'était faux
Et j'finis toujours par dire "tu" quand j'parle de moi, c'est aberrant
Alors oui, parfois j'avoue, j'me reconnecte sur tes pas gravés sur le sol
T'es presque là quand j'm'isole, comme quand tu m'écoutais parler des heures parler, frivole
Mais, j'sais pas comment expliquer, ça m'désole plus, ça m'inspire plus que c'que j'pensais d'avoir grandi, d'avoir appris
À avoir mal au point qu'en sortir d'vienne vital, c'est ça
Tu vois, là, j'regarde par cette fenêtre du train et j'ai même plus mal parce que je sais être heureuse
Alors, bien sûr parfois ça retombe
Regarde, je tangue entre deux mondes, celui-ci tremble et l'autre non
L'attente, la vraie, c'était si long, mais là
J'peux tendre à faire mes choix, du coup je tente de m'aimer moi
T'es presque là quand j'm'isole, comme quand tu m'écoutais parler des heures parler, frivole
Mais, j'sais pas comment expliquer, ça m'désole plus, ça m'inspire plus que c'que j'pensais d'avoir grandi, d'avoir appris
À avoir mal au point qu'en sortir d'vienne vital, c'est ça
Tu vois, là, j'regarde par cette fenêtre du train et j'ai même plus mal parce que je sais être heureuse
Alors, bien sûr parfois ça retombe
Regarde, je tangue entre deux mondes, celui-ci tremble et l'autre non
L'attente, la vraie, c'était si long, mais là
J'peux tendre à faire mes choix, du coup je tente de m'aimer moi
Parce qu'au fond, mon seul chagrin, c'était ça
Il m'reste qu'à sentir qu'ça fait du bien d'avoir mal au ventre
Quand j'ai peur de retrouver un tel bonheur, une telle ardeur
Car toi ou cet autre, c'est p't-être pareil, et même si ça l'est pas, j'aime tant l'écrire
J'aime tant les cris qui m'font renaître
J'ai tant vu sombre que j'me connais
Alors si j'peux encore tomber raide, trouver belle la vie le temps d'un verre, même sous les signes amers
Même dans les pires rappels, j'voudrais juste voir où cette folie m'emmène
Il m'reste qu'à sentir qu'ça fait du bien d'avoir mal au ventre
Quand j'ai peur de retrouver un tel bonheur, une telle ardeur
Car toi ou cet autre, c'est p't-être pareil, et même si ça l'est pas, j'aime tant l'écrire
J'aime tant les cris qui m'font renaître
J'ai tant vu sombre que j'me connais
Alors si j'peux encore tomber raide, trouver belle la vie le temps d'un verre, même sous les signes amers
Même dans les pires rappels, j'voudrais juste voir où cette folie m'emmène
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