Paroles de la chanson Nu Dans La Ville par Zoufris Maracas
Auteurs: Sanchez
Compositeurs: Sanchez
Editeurs: Raoul Breton Editions,Un Week End A Walden
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Paroles de la chanson Nu Dans La Ville par Zoufris Maracas
Je me trimbalais nu dans la ville
Les gens pensaient que j’étais devenu fou
Ils disaient il est devenu débile
On doit l’enfermer un point c’est tout
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses fesses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
Fou ça oui pour fou j’étais fou d’elle
Elle qui ne vivait avec rien
Les gens pensaient que j’étais devenu fou
Ils disaient il est devenu débile
On doit l’enfermer un point c’est tout
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses fesses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
Fou ça oui pour fou j’étais fou d’elle
Elle qui ne vivait avec rien
Qui faisait la terre entière sienne
Moi son monde je n’y comprenais rien
Elle prenait tout le monde dans ses bras
Elle avait de l’affection à revendre
Et moi qui ne la comprenait pas
J’aurais presque fini par me prendre
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses lèvres
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses yeux
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses rêves
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses feux
Je me trimbalais nu dans la ville
Moi son monde je n’y comprenais rien
Elle prenait tout le monde dans ses bras
Elle avait de l’affection à revendre
Et moi qui ne la comprenait pas
J’aurais presque fini par me prendre
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses lèvres
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses yeux
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses rêves
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses feux
Je me trimbalais nu dans la ville
Les gens pensaient que j’étais devenu fou
La douleur me rendait si fébrile
Que j’eus pu m’effondrer devant vous
De penser à elle je n’ai de cesse
Elle qui fit tout trembler en moi
Elle qui me rationnait ses tendresses
J’en suis accro comme au chocolat
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de son rire
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mots
Pourquoi je m’entête à m’enfermer dans mon délire
Pourquoi donc mon cœur n’obéit plus à mon cerveau
La douleur me rendait si fébrile
Que j’eus pu m’effondrer devant vous
De penser à elle je n’ai de cesse
Elle qui fit tout trembler en moi
Elle qui me rationnait ses tendresses
J’en suis accro comme au chocolat
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de son rire
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mots
Pourquoi je m’entête à m’enfermer dans mon délire
Pourquoi donc mon cœur n’obéit plus à mon cerveau
Je me trimbalais nu dans la ville
Les gens pensaient que j’étais devenu fou
Ils disaient il est devenu débile
C’eut été plus simple je l’avoue
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses fesses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Les gens pensaient que j’étais devenu fou
Ils disaient il est devenu débile
C’eut été plus simple je l’avoue
Mais pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses fesses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses tresses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses mains
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses fesses
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
Pourquoi je m’entête à me souvenir de ses seins
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